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La ferme le retour 7
Datte: 05/08/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... mec mais lui s'est pas gêné pour m'emmancher d'un coup sec. Depuis le fist je mouillais presqu'en permanence et il s'est bien enfoncé. Me tenant par les hanches il a donné de furieux coups de reins et a feulé en dosant mon cul dans la capote. j'ai pris une claque sur le cul en remerciement pendant qu'il remontait son jeans. Bonne lope. Bien ouverte. Il est sorti aprés avoir jeté la capote dans la cuvette. Déjà Denis avait trouvé un autre mec, en short qui m'afait accroupir devant lui et sa tige est sortie du haut du short. Suce bâtarde. T'inquiètes pas je vais te gicler sur la gueule j'en rêve. Regarde moi! La vache il était super mignon et se branlait juste devant moi. Lèche moi les couilles comme une femelle je vais t'en foutre plein les cheveux. Penché sous lui pour lècher j'ai senti ses jets arroser mes tifs. Il a rigolé et a remonté son short. Bonne chance pédale. C'était la première fois qu'on me traitait comme ça mais son ton pour le dire m'a plu. Tu rêves ou quoi? Il étaient devant moi, la porte grande ouverte. Sort de la y a plus rien de chaud à mon goût mais le dernier t'as apprécié il me l'a dit en partant. Relève ton short on va repartir. La voiture est sur le parking. Cette fois plus d'arrêts avant Paris. François tu nous laisse devant chez moi? Si ça marche ça sera plus crédible qu'il soit à ma disposition. Oui ok sans poblème T'as touours ton petit loft? Oui mais j'ai gardé le fric qu'ils donnaient et j'ai pas mal servi ces salopards. J'ai même aménagé la cave ...
... pour un cas comme Manuel. Bah il sait bien qu'il en sortira pas indemne. On a roulé, j'avais remis les pieds sur les dossiers avant, gémissant quand Denis ou Louis tripotaient mon cul sans modération J'étais perdu quand on a roulé dans Paris et que la voiture s'est arrêtée devant une ruelle. Descend et attends moi. Pense à prendre mon portable Denis stp. Ok t'inquiètes. Il a parlé un moment avec Abdu et François et ils sont partis avec Louis et ma voiture. Je m'étais réfugié dans l'entrée de la ruelle. Aller avance j'habite tout au fond. C'est calme et j'ai bien isolé. Il y avait une porte et deux fenêtres volets descendus. Il m'a fait entrer et a appuyé sur un bouton pour relever les volets. Fous toi à poil, évidemment t'en a plus mais c'est l'expression. Le poids te tire bien? Oui Denis. Vlan j'ai ramassé une baffe. Fait attention toi ausi. Oui qui? Oui maître. C'est mieux, il faut que ce soit naturel et j'ai une journé pour faire de toi une larve à mon service. Aprés seulement j'appelerais si il y a quelqu'un. Il a ouvert une porte. Ton domaine commence la. Un escalier descendait sous la maison, assez profondément. Surement, la maison était construite sur d'anciennes carrières de ¨Paris. Colle toi au mur et fait ce que je te dis. Il a installé entre mes chevilles une barre d'écartement articulée avec au centre une barre mobile à laquelle il a fixé un gode de belle taille. Il a relevé la barre contre mes fesses. Monte sur tes doigts de pieds Il faut que le gode te pénètre. ...