1. Dans les vapeurs de l'alcool


    Datte: 05/08/2018, Catégories: Hardcore, Mature, Anal

    Son prénom était Emilie, mais tout le monde dans le village l’appelait Lili. Elle avait une petite cinquantaine. Un chignon, des lunettes, elle était mince et pas très grande. Un physique très ordinaire. Je la croisais souvent au bar du village, et ce soir-là je me suis retrouvé à ses côtés à l’occasion d’un repas moules-frites organisé dans le bar-restaurant du village.De Lili, je savais qu’elle était divorcée, qu’elle avait une fille qui vivait en région parisienne et qu’elle touchait une pension d’adulte handicapé. Le handicap en question était dans sa tête. Lili avait fait de la dépression par le passé. Elle avait un traitement.Nous étions une quarantaine à table et l’ambiance était chaleureuse. Je connaissais presque tout le monde. Il y avait à manger à volonté, mais aussi à boire. Je ne me suis pas privé. Lili non plus. Elle aurait pourtant dû faire attention, car le traitement qu’elle suivait lui interdisait de boire trop d’alcool. Je l’avais déjà vue ivre, un soir. La patronne du bar-restaurant avait dû la raccompagner chez elle en la tenant par le bras pour éviter qu’elle s’effondre.Et ce soir-là, bien après minuit, il sembla évident qu’elle ne pourrait pas rentrer toute seule. Nous n’étions plus qu’une poignée au comptoir quand je vis Lili se diriger vers les toilettes en titubant. A son retour, la patronne refusa de lui servir un nouveau verre. Lili protesta et tout le monde se marra de la voir tanguer entre les tables et les chaises, incapable qu’elle était de ...
    ... prononcer une phrase complète.Et je dois préciser ici que j’avais également du mal à aligner trois mots sans grignoter des syllabes. J’avais mon compte et j’y voyais un peu flou, à tel point que l’envie me vint de raccompagner Lili chez elle.Je n’avais jamais eu de vue sur cette femme avant ce soir-là. Elle avait dix ans de plus que moi et elle était un peu illuminée. Seulement voilà, j’étais complètement ivre et elle aussi. De plus, lorsqu’elle s’était penchée à un moment donné pour ramasser son briquet au sol, j’avais entrevu son soutien-gorge sous sa chemisette. Il était blanc, a priori transparent, et elle avait une assez forte poitrine. En bas, elle portait un simple jean et des tennis.L’envie fit son chemin dans ma tête embrumée et, au moment où la patronne annonça qu’elle allait devoir fermer ses portes pour raccompagner Lili chez elle, je suis intervenu en disant :« Ne t’inquiète pas, je vais le faire, c’est sur mon chemin. »La patronne me remercia et Lili vint vers moi en disant :« C’est pas la peine, je suis capable… »Puis elle trébucha et je la rattrapai de justesse.Quelques minutes plus tard, j’ai pris Lili par le bras et nous sommes sortis du bar pour prendre le trottoir de la rue où j’habitais. Elle vivait un peu plus loin, dans une petite maison dotée d’un jardinet qu’elle entretenait avec grand soin.Je me souviens qu’elle m’a dit :« Je m’en fiche, j’ai du whisky chez moi… »Si j’avais lâché son bras un seul instant, elle serait tombée, c’était une évidence. Alors ...
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