Vanessa (1)
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
Hétéro
... moi d’ailleurs mais vous avez plus de chance que moi car vous avez tout vu et m’avez mis un doigt dans le cul alors que moi je n’ai pas vu ce qu’il y a sous mes doigts. — Je ne pense pas qu’il soit raisonnable de vous montrer mon sexe, surtout pas ici. Dit il en l’aidant à se lever. On va faire quelques pas dans la chambre, d’abord avec mon soutien, et, si ça se passe bien, vous marcherez toute seule comme une grande. — On pourrait aller jusqu’à la salle de bain, c’est plus discret que la chambre, reprit Vanessa bien décidée à voir sa bite. — Ce n’est pas raisonnable, dit-il sans s’y opposer, mais vous devez apprendre à vous y rendre seule. C’est en partie pour ça que je suis là, pour vous permettre d’acquérir un peu d’autonomie. — Vous pouvez m’aider à m’assoir sur les WC ? Demanda-t-elle une fois sur place. C’est juste pour souffler deux minutes. — Si vous voulez. Prenez mes mains, voilà. Vanessa se retrouva assise et le kiné se tenait debout devant elle. Comme il lui tenait encore les mains, elle l’attira vers elle en le regardant dans les yeux. Le praticien n’était pas dupe mais il se laissa faire et quand il fut assez proche elle descendit la ceinture de son pantalon pour dégager sa verge. Le sexe était long et épais, un peu noueux et le gland bien dégagé perlait de désir. — Ce n’est vraiment pas sérieux, dit-il alors que la bouche de Vanessa s’approchait langue tendue de sa bite. Oh non, ce n’est pas du tout sérieux. — Je ne peux pas vous laisser dans cet état, ...
... répondit Vanessa, ce serait encore pire si vous quittiez ma chambre avec une aussi grosse érection. — Ooooh, oui… Mmm, tu suces bien, ma parole, ooooh... Oh oui. Vanessa lui caressait ses grosses couilles et avalait son chibre au point de perdre son nez dans sa toison crépue et chargée de ses odeurs corporelles. Elle trouvait ça très excitant et regrettait qu’il ne puisse pas la lui mettre au fond du cul. Elle se rassura en se disant que, de toute façon, sans capote c’était impossible. Elle mit son point d’honneur à le faire venir très vite. Elle le masturbait activement en gardant son gland en bouche, faisant courir sa langue sous le prépuce puis avalait entièrement sa bite quelques secondes avant de recommencer. Le kiné avait posé ses mains sur sa tête et caressait ses cheveux avec douceur. Il était tellement excité qu’il ne chercha pas à résister à la montée de son plaisir et après quelques minutes il annonça qu’il partait. Vanessa sentit la verge se gonfler et elle la ressortit de sa bouche pour recevoir son sperme au visage. — Tu n’avales pas, constata le kiné en attrapant du papier. Tu aurais dû me le dire, j’aurais anticipé pour éjaculer dans du papier toilette. — Si j’avale mais pas les inconnus ; une maladie est trop vite attrapée. Et je ne me fais pas prendre sans capote, non plus. Sauf si je sais que je peux avoir confiance. Mais j’aime bien me faire asperger le visage. — Je comprends. Tu aimes te faire prendre le cul ? — J’adore. Tu permets que je me branle ; moi aussi ...