1. Double exemplaire


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe sm, fouetfesse, portrait, policier,

    ... l’annonce qui vous avait attirée au départ ? Sur quel site était-elle ? Marie-Claire eut un instant d’hésitation. — Le site oui… l’annonce pas vraiment… c’était il y a longtemps.— Pouvez-vous regarder sur ce site si vous trouvez une annonce qui vous rappelle quelque chose, qui pourrait être de lui ?— Je suis désolée, je n’ai pas de connexion Internet ici.— Je vais vous prêter mon ordinateur, j’ai une connexion en 3G… attendez une seconde. Marc sortit un ordinateur portable de son sac, l’alluma. Après l’avoir connecté, il le tendit à Marie-Claire. Celle-ci commença à chercher, avec hésitation au début, puis passant en revue annonce après annonce, pendant un long moment. Marc nota dûment le site d’annonce, et la catégorie. — Je ne vois rien… Marc soupira, apparemment déçu. — Nous avions pensé qu’après votre départ, il rechercherait une autre femme… au fait, dit-il, comme s’il venait de réaliser quelque chose, pourriez-vous aussi regarder si vous avez un message de lui ? On ne sait jamais…— Il y a un certain temps que nous ne nous écrivons plus…— Combien de temps ? intervint Mathilde Marie-Claire hésita un moment. — Je ne me souviens plus…— Regardez quand même à tout hasard… Si ses autres moyens de communications sont coupés, il a pu essayer de vous écrire. Ostensiblement, Marc revint s’asseoir à sa place, ne pouvant ainsi voir ni écran ni clavier. Mathilde ne regardait pas non plus, parfaitement au courant du fait que Marc avait sur son portable un logiciel qui enregistrait ...
    ... toutes les frappes au clavier. Il s’en souviendrait «par hasard » un peu plus tard. Légalement c’était un peu limite mais après tout c’était son ordinateur… Obtenir les mêmes informations par des voies officielles auprès des fournisseurs d’accès et de messagerie aurait pris des jours, voire des semaines. La première leçon que Marc enseignait sur l’accès aux informations personnelles était que les méthodes les plus simples étaient les plus efficaces. Marie-Claire tapota un bon moment, puis confirma. — Non, pas de courrier… Elle se déconnecta, puis rendit l’ordinateur à Marc. — Pouvez-vous nous donner le numéro de téléphone mobile de M. Klein ? demanda Mathilde Marie-Claire sortit son propre téléphone, leur donna. Marc et Mathilde se regardèrent : le seul numéro qu’ils avaient trouvé pour Klein était celui de son téléphone professionnel, obtenu tout bonnement en le demandant au standard téléphonique de son entreprise. Ce numéro était différent de celui qu’elle venait de leur donner, Klein avait donc un téléphone personnel qu’ils n’avaient pas trouvé auprès des opérateurs mobiles. Mathilde parla à nouveau — Vous ne voyez rien d’autre qui pourrait être intéressant pour nous ? Nous ne voulons bien sûr pas vous exposer publiquement, ajouta-t-elle d’un ton qui faisait sonner la phrase plus comme une menace voilée que comme une assurance, mais il est important de savoir si d’autres femmes sont dans la même situation, et d’éviter que d’autres s’y retrouvent. Marie-Claire réagit : — Il ...
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