Double exemplaire
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
facial,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Partouze / Groupe
sm,
fouetfesse,
portrait,
policier,
... sexuelle d’à peu près son âge tourner autour de son père. Rousseau avait-il une raison additionnelle de protéger son témoin ? L’huis clos dans le bureau avait dû être plutôt chaud, du fait de la confession de Marie-Claire. Marc soupçonnait fort que la version écrite avait été éludée au strict minimum, partie volontairement, partie du fait de la qualité d’expression écrite stéréotypée du capitaine. Par contre, celui-ci avait trente ans d’expérience des interrogatoires et il était un très bon interprète du langage corporel, des émotions et des non-dits. Si Marie-Claire avait été sexuellement sensible à son pouvoir, cela n’avait certainement pas dû lui échapper. Y avait-il été sensible en retour ? Marc ne put s’empêcher de sourire en imaginant le capitaine en uniforme, tenant un fouet… Marie-Claire nue, à ses pieds… Un rôle de plus pour le capitaine Rousseau, qui les aimait tant. Mathilde, elle, ne souriait pas du tout. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Jeudi, 12 h L’unité était regroupée dans une gendarmerie abandonnée par ses précédents occupants : lors d’une réorganisation récente, l’urbanisation du canton avait conduit au transfert du maintien de l’ordre à la police judiciaire. Marc avait hérité comme bureau du lieu le plus discret – et le plus sinistre – l’ancienne salle de garde à vue, maintenant surnommé «Le donjon de Marc ». Une partie de sa responsabilité était l’encadrement technique et la formation des adjoints, ou plus exactement des adjointes, l’équipe actuelle de trois étant ...
... entièrement féminine. Celles-ci se partageaient, en principe, le bureau voisin – surnommé par certains, mal, intentionnés, «Le harem de Marc » qui, lui, désignait le lieu comme «Chez les princesses mages ». Afin de faciliter le passage de connaissances, et de garantir une équité entre les trois, il avait pris l’habitude de partager son bureau avec celle qui était d’astreinte pour la semaine – une des trois l’était toujours. Avec son habituelle autorité, très sèche, Mathilde informa Fanny Vandamme, l’adjointe d’astreinte, de regagner le bureau voisin pour un temps indéterminé. Par derrière, Marc fit une mimique voulant dire «désolé » à Fanny, mais en sortant celle-ci répondit par une autre, semblant vouloir dire «Pas de problème, bon courage à toi avec P’tit’Bull ». Le capitaine croyait à la confidentialité, donc au cloisonnement, et demandait souvent à son personnel de travailler de façon indépendante, et discrète, sur les différentes investigations, avec compte-rendu pour lui seul. Une équipe de deux pour une affaire sérieuse était la norme. Ce qui surprendrait le plus les membres de l’unité, c’était la composition explosive de l’équipe en question. Marc se connecta sur le compte de messagerie de Marie-Claire Chaix. Mathilde laissa échapper sa déception. — Pas un seul courrier… elle n’a rien gardé. Sans répondre, Marc ouvrit la « poubelle » du compte. La page lui annonça : 363 messages. — Elle les a détruits depuis moins de 24 heures puisqu’ils sont encore dans la poubelle… ...