Cadeau de mariage
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
préservati,
hplusag,
... durant notre aventure. « Il sera moins beau, moins enrichi, moins enrichissant, sans apparat, il faudra le goûter pour en connaître la saveur. Mais ta vraie question est de savoir si mon régime tolèrerait, non ? » J’attendais vivement le bip annonciateur de message, mais au lieu de ça, j’ai eu droit à la sonnette de la porte d’entrée. Râlant d’avoir un visiteur inopiné et au plus mauvais moment, quelle ne fut pas ma surprise de voir une touffe de cheveux de couleur sel et sel, des yeux pétillants et un sourire hésitant, Patrick… C’est avec autant de plaisir et d’émotion que je le conduisis jusqu’à mon bureau. À peine la porte fermée, qu’il m’a plaquée contre le mur, caressant mes épaules, s’attardant sur mes seins. Je sentais ses lèvres et son souffle dans mon cou, sa barbe me chatouillait. Et moi, je restais là, les bras levés sans bouger. Je n’arrêtais pas de me répéter « Non, non, tu ne peux pas. Ce n’est pas bien. » Je ne sais pas ce qui a fait que je me suis résignée et que j’ai choisi de m’abandonner dans les bras de Patrick. Je me suis laissé déshabiller. Je ne bougeais plus, ma timidité retrouvée. ...
... Jusqu’où allait-on aller comme ça ? Qu’est-ce que j’étais en train de faire ? Sans plus me rendre compte de rien, je me suis retrouvée nue, assise sur mon bureau avec la tête de Patrick entre mes jambes. Je n’arrivais pas à croire à ce que j’étais en train de faire, enfin plutôt de me laisser faire. Sa langue fouillait ma fente de haut en bas, ses dents se refermaient sur mon bouton d’amour. Je ne pouvais retenir mes gémissements. D’une main, il me pinçait un téton tout en gardant sa langue bien en place au plus profond de mon intimité. Un doigt, puis deux sont venus prendre sa place. Je n’étais plus que sensation et plaisir, sans plus aucune idée de ce qu’il me faisait exactement. Quelle folie ! Quel bonheur ! Il est parti presque comme un voleur, sans que je ne me sois remise de ce qui venait de se passer. Moins d’une heure plus tard, nouveau message : « Tu préfères un doigt ou deux ? » En grosse gourmande que je suis, ça ne pouvait être que deux évidemment… « Eh bien la prochaine fois, s’il y en a une, tu auras un doigt dans chaque trou. J’avais déjà envie de te le faire, mais j’ai pas osé. » La prochaine fois ?