Un rêve ou la réalité ?
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... à me manquer.Aussi, je viens de démarrer un récit que je ne dirai pas autobiographique, mais qui me met en scène, ma femme et un ami. C’est la première fois, même si certains de mes personnages ont été souvent inspirés, au moins en partie, par des connaissances. Mais là, c’est un peu différent. Il est probable que ce récit restera dans mon ordi comme certains autres jugés peu réalistes, ou, pas terminés ou trop marqués soumission que Rêvebébé rechigne à publier. D’autant que pour l’instant, je n’ai que le début. Un début bien classique qui n’a d’intérêt que parce que les personnages sont si proches de moi que je peux mettre un visage sur eux. Je ne sais pas encore pour la suite de l’histoire, mais il la faudrait un peu plus originale que le simple mari cocu ou le mari cocu content candauliste si je veux vous satisfaire, lecteurs, anonymes et experts inscrits !C’est donc un mari (moi, Julien) qui rentre à l’improviste chez lui et qui découvre sa femme (Agnès, ma femme) avec un amant (Rémy, un copain). Ils sont dans la chambre et font l’amour. Je ne me montre pas, car la scène est étonnante : ma femme est attachée sur notre lit, les yeux bandés et Rémy lui fait le grand jeu du mystère.Vous voyez, rien de bien original.Étonné par ce que je vois, je raconte alors au lecteur quelle femme est la mienne et expose ce que sont les relations réelles existant entre Agnès et moi (celles que j’ai expliquées plus haut). Ce paragraphe montre quelles différences il y a entre la femme mariée ...
... et la maîtresse. Une maîtresse qui accorde tout à son amant. Manifestement, il vient de se déverser dans sa gorge, car, à cet instant, il l’encourage à avaler tout son foutre, lui promettant que ce ne sera pas la dernière fois, puisqu’ils ont deux jours devant eux. Je suis en effet censé être absent 48 heures pour mon travail.Je décris comment il la caresse ensuite, lui arrachant des cris de plaisirs, la forçant à dire combien c’est bon, qu’il ne doit pas s’arrêter, qu’elle en veut encore… Toutes ces paroles que je n’arrive à obtenir de ma femme que rarement et bien généralement, seulement si elle est un peu ivre. Mais comme tout amant, Rémy est un bon coup. Après avoir bien fait jouir ma femme, je décris, dans le menu détail, comment il la pénètre, notant au passage qu’il ne met pas de capote, apportant ainsi la preuve que les amants se connaissent depuis un moment.Je décris donc ce sexe qui pénètre ma femme. Un sexe que l’amant attribue à un ami de passage, ajoutant une touche de jeu sexuel pervers de la femme possédée par un inconnu. Un sexe qu’il pousse fort après l’avoir fait ressortir pour caresser le clito, arrachant encore et encore des gémissements à la femelle, salope que l’homme inconnu insulte pour l’exciter encore plus.Voilà, ma première partie est presque finie. Je ne suis pas mécontent, non pas sur le scénario bien commun, mais sur ma façon de bien décrire la scène et les acteurs. Il faut maintenant que je trouve une suite qui… — On devait bien aller faire un ...