Un rêve ou la réalité ?
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... par ma présence et je… je devine à une crispation des lèvres, une paralysie qui le bloque au plus profond du vagin, qu’il jouit à son tour, libérant au cœur de la vulve ce liquide qui fait l’aboutissement d’une bonne baise. Deux, trois derniers mouvements pour accompagner chaque jet. La femelle sent le mâle l’inonder. Elle gémit à nouveau. Quelques secondes et les amants reprennent leur souffle. Rémy se retire. J’ai la vision de sa queue grasse de leurs liqueurs qui quitte la fente si bien ramonée. Juste quelques gouttes sont entraînées par elle et coulent vers les fesses. Il lui relâche les jambes. Agnès repose à nouveau allongée, je dirais même alanguie, toujours attachée par les poignets. Sa respiration est encore forte. Rémy me regarde. Il doit se demander ce que je veux ? Je veux lui parler. J’ai l’impression d’avoir déjà vécu cette scène. Je l’ai si souvent racontée, avec des variantes, mais elle est souvent la base de mes récits. Je lui fais un signe pour lui faire comprendre que je veux lui parler et que nous devons sortir de la pièce. — Je reviens, dit-il à la femme allongée. — Je ne bouge pas ! Petit rire de celle qui est attachée. Et elle ajoute : — Ne tarde pas trop. — Non. Étrange spectacle que nous devons donner. Nus, la bite en demi-érection pour lui, encore tendue pour moi. Je ne vais pas me lancer dans un grand discours. Pas de reproche… On verra plus tard, pour qu’il me raconte. Non droit au but : — Rassure-toi, pas de problème. Voilà qui doit le rassurer ...
... totalement. Je reprends : — Tu te souviens de la fois où tu as couché avec une femme et que l’homme participait ? — Bien entendu. Un de mes meilleurs souvenirs ! — Je voudrais qu’on fasse à peu près pareil. Enfin, en s’adaptant au fait qu’Agnès porte un bandeau. Tu lui as dit quoi pour ça ? — Oh, le petit jeu de la surprise ! Qu’un inconnu viendrait peut-être… Que pendant ces deux jours, j’inviterais des amis. Qu’elle était tellement…, excuse-moi…, tellement salope que je ne pourrais pas assurer pendant 48 heures. Enfin tu vois ! Comme toi tu le racontes dans certaines de tes histoires. Manifestement, cela l’excite…Je ne peux m’empêcher de lever la tête de l’écran où je lis ce que ma femme a écrit, pour la regarder. Même si c’est un récit imaginaire, bien que le réel ne soit pas loin, Agnès vient d’avouer que Rémy lui a parlé de ses aventures avec le couple, que leur week-end était bien basé sur un jeu qui dépasse le simple adultère et que leur couple était plus que des amants qui ne se rencontraient que pour baiser. La libido était amplifiée par des fantasmes.Elle évite mon regard.Je retourne vers l’écran. — Parfait. On fait comme ça. Rémy me regarde. — Tu es sûr ? — Oui. Il est temps que je passe de l’imaginaire au réel. Agnès a manifestement pris de l’avance sur moi. — C’est vrai. Elle est très demandeuse de sensations fortes. Manifestement il n’y a pas que tes lecteurs anonymes que tes histoires excitent. — Alors il faut la satisfaire. Je voudrais juste qu’elle ne sache pas ...