1. Thérèse


    Datte: 07/08/2018, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... moi. J'étais prêt à renoncer et à capituler. De colère j'enculais avec v******e la patronne dans une chambre. La truie affectionnait ces soirées de partouze. J'avais exclu la chance du hasard. Thérèse était venue dans l'auto du patron. Il se trouva qu’elle habitait à peu de kilomètres de moi. Le patron insista pour que je la ramenas. Elle était dépitée. J'étais prêt à abonder dans son sens.La patronne trancha mettant d'autorité sa main en la mienne. De toute façon les autres depuis s'étaient égayés. Il y eût silence d'abord entre nous. Le son de la radio apaisait à peine le malaise. C'est elle la première qui ouvrant les hostilités se répandit sur son amie. Un cave se rebiffe. Je protestais avec quelque véhémence. Son amie s'était toujours posée en victime. De toute façon et en dernière argument j’arguais que tous les gars du service pensaient comme moi. Ce trait sembla clore le débat.Elle se radoucit en effet et s’excusa. De toute façon elle-même s'était fâchée depuis avec cette personne. Je convins cependant que je n'étais pas un saint et que sans doute j'avais à me reprocher. Elle sourit. Nous étions à la détente. Elle avait envie de parler et de se confier. Abruptement elle me demanda ce que je pensais d'elle. Elle ajouta que je devais la déconsidérer pour ce qu’elle avait montré durant la soirée. Elle usa même du mot de putain. Je protestais d'une telle sévérité.Elle me confirma son désarroi. Elle se trouvait vieille et paumée. Le sexe lui paraissait une issue. Son ...
    ... mariage avait été médiocre. Son mari était un impénitent coureur. Elle avait décidé maintenant de se venger et de ratt****r le temps perdu. Elle ne se faisait guère d'illusion sur ce que pensaient d'elle ses amants d’occasion. Il lui peu importait que les autres femmes la rangeâssent maintenant au rang des traînées. Elle me demanda de go si j’avais envie d'elle.Je n'avais pas vu le coup venir. J'étais las. L’alcool et la fatigue m'avaient entamé. Un autre que moi eût obtenu d'être branlé et sucé au cours du trajet et même l'eût besogné une dernière fois sur la banquette. Elle trouvait singulier que je ne me serve pas. Son cul avait été mis à contribution plusieurs fois dans la soirée. Elle me dit d'une voix lubrique qu'elle savait que j’étais assez renseigné sur ses vices. Elle tenait à me récompenser d’une façon ou d'une autre.Elle me dit que ce soir-là son mari était en province et à cette heure sans doute dans les bras d’une maîtresse ou d'une prostituée. Bref elle insista pour je montas avec elle boire un dernier verre. De guerre lasse je dis oui. J'avais la mine stupide du condamné mené à un bûcher. Elle roulait du cul devant moi dans l'escalier. Au bureau nombre lui foutaient la main aux fesses. J'eus idée de faire pareil tant elle me provoquait. Sa minijupe signalait ostensiblement l’une l'autre fesse rebondies.Après qu’elle eût ouvert la porte, elle se jeta sur moi et m'embrassa dans son vestibule. Elle était odorante et avait des lèvres de feu. Je bandais à nouveau. Son ...