1. Thérèse


    Datte: 07/08/2018, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... lourd cul fut pétri entre mes mains. Je découvris la chienne qu'on m’avait tant loué. Elle suçait comme une mort de faim. Visiblement les autres ne l'avait point rassasié. Elle convint un peu de sa nymphomanie. Bref je devrais trouver d'infinis ressources pour baiser toute cette nuit. Elle me mit dans la main du Viagra.La salope était pleine de ressources. Elle tint à ce qu'on baisa dans le lit conjugal. Elle tenait à ce que je l'enculas à l'endroit où ronflait l'impénitent mari. Cette idée m’enchanta et avec un relatif sadisme je fis subir à son cul les derniers outrages. Le Viagra fit des miracles. Je repartais sans cesse à l'assaut. Un moment je contemplais avec circonspection l'anus que j’avais tant défoncé. Celui-ci impavide semblait encore demander. Il l’exhortait toujours à être pilonné.Elle me concédât de dormir jusqu'à midi. J'étais fourbu. J'eus droit à un petit déjeuner tout vitaminé. Le Viagra n'étant pas en reste. Je lui fis observer des dangers de celui-ci pour le cœur. Elle me dit de son sourire que du moins serais-je mort au champ d'honneur en la baisant. Je lui fis confidence que j’avais été amoureux d’elle aux premiers jours et au temps où elle était encore timide et réservée. Cela la mit en colère. Elle détestait cette époque où elle était nunuche.Elle n'en parut pas moins flatté de mon intérêt sincère car il lui pesait de temps en temps de son nouveau rôle. Elle était secrètement blessée que ses collègues la traitassent en putain et fille facile. Elle aspirait à une sorte de tendresse et à être admirée sans se départir du plaisir du sexe. Elle me demanda solennellement si je voulais être son amant. Elle me jura même fidélité pour peu que je parvins à la contenter. Nous convînmes de baiser chez moi le restant du week-end.
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