Le cadeau d'un père...
Datte: 07/08/2018,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
copains,
vengeance,
Masturbation
intermast,
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hsodo,
confession,
... qui avait des copines qui, comme elle, ne s’embarrassaient pas trop des codes rigides qu’elles attribuaient aux gens de la ville… Quand nous sommes arrivés chez José, après un trajet en auto-stop qui nous avait pris quatre heures, sa mère nous a appris qu’il était déjà parti et que nous devions le rejoindre directement au village. L’après-midi étant déjà bien avancé, nous avons accepté la proposition de sa mère, c’est à dire loger sur place et nous mettre en route le lendemain matin. Nous allions évidemment passer la nuit dans la chambre de José. Étendus sur le lit, nous avons farfouillé dans la bibliothèque qui se trouvait derrière nous, et nous sommes tombés sur quelques livres érotiques de la plus belle eau… Pas d’images, non, rien que du texte, mais nous étions encore suffisamment innocents à cette époque pour que notre lecture nous mette le rouge aux joues… André n’arrêtait pas de se toucher machinalement le sexe, par-dessus son caleçon, en tournant les pages de son ouvrage, et j’avoue que je ressentais également une raideur bienfaisante au bas du ventre. Après un certain temps, André a déposé son livre et s’est tourné vers moi : — Dis, Robert, si ça continue on va finir par se masturber…— Ouais, ça me donne envie aussi… Jusque-là, jamais nous n’avions parlé réellement de notre vie sexuelle, de quelque manière que ce soit. Mais nous nous trouvions dans une situation inhabituelle… — Dis, Robert…— Oui, André…— Si on le faisait ensemble, maintenant, chacun de son côté ?— ...
... Euh… tu crois que…— On en a envie tous les deux, non ?— Oui, bien sûr… Trêve de balivernes ! On a enlevé le seul vêtement qu’on avait encore sur nous, notre caleçon, et on s’est préparés… André avait un beau sexe, bien proportionné, un peu plus long que le mien, qui était en revanche plus trapu. Il a calé un oreiller derrière sa tête et sa main s’est de suite mise en branle, si j’ose dire… Moi, par contre, j’avais l’habitude de me masturber en étant couché sur le ventre et en faisant agir mes reins sur le matelas. J’ai pris une de mes serviettes de bain et l’ai étalée sur le lit afin de ne pas risquer de laisser des taches suspectes sur le drap. La tête tournée vers André, je le voyais concentré sur sa tâche, bouche entrouverte, les muscles du ventre roulant sous sa peau, ses yeux posés sur mes reins et mes fesses qui montaient et descendaient en cadence. Après deux ou trois minutes, aucun de nous deux n’était encore parvenu à ses fins lorsqu’André a suspendu son geste et m’a dit, d’une voix étouffée : — Dis, Robert, tu crois pas qu’au lieu de se masturber ce serait mieux de s’enculer ? La foudre, en tombant, ne m’aurait pas plus surpris que sa proposition ! Je te rappelle que nous étions en 1962 et que nous étions tous les deux puceaux. Je n’avais pas de petite amie, André en avait une, mais, s’il fantasmait souvent sur la tenue kaki de « guide » qu’elle portait le week-end, jamais encore elle ne lui avait permis de glisser la main sous sa jupe, tout au plus l’avait-elle ...