Deux plus deux
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
amourdura,
... suis peut-être trop sentimentale, mais je n’arrive pas à dissocier le sexe des sentiments. Avec toi, je ferais tout ce que nous pouvons fantasmer à deux, car je t’aime, j’ai une confiance absolue en toi. Mais avec d’autre… Elle marqua une pause, puis reprit, la voix plus basse :— Il faudrait que ce soit avec des gens avec qui je me sente en harmonie et en confiance. Et toi, tu serais prêt à franchir le pas ? demanda-t-elle après une nouvelle pause.— La première condition serait que tu en aies envie, fis-je en avalant ma salive avec difficulté. Ensuite, ce serait de trouver le couple idéal pour nous initier dans la douceur et dans la confiance. Nous nous tûmes pendant de longues minutes, chacun réfléchissant à ce que nous venions de dire, les yeux dans les yeux. Nous venions d’évoquer la possibilité d’aborder des rivages inconnus pour nous. Et que nous jugions jusqu’ici interdits. En fixant des conditions, certes… mais je sentais au fond de moi que ces conditions étaient déjà réunies. J’étais certain que Caroline le sentait elle aussi. — Caroline, j’ai envie de toi, dis-je, au bout d’une éternité, n’osant avouer à voix haute ce que je pensais, la force de mon érection tourmentant mon bas-ventre.— Je sens ça, fit-elle en glissant sa main sous mon caleçon et se saisissant de ma verge dure. Attends, je vais m’en occuper.— Non, j’ai vraiment envie de toi. De te faire l’amour.— Mais j’ai mes règles Romain !— Et alors ? Tu n’es pas impure. On n’est plus au Moyen-âge.— Mais… Tu ...
... n’as pas peur de… Ce n’est pas très…— Pas plus que la sodomie je crois. Tu n’as pas envie ?— Si, j’ai envie de toi. Mais je n’ose pas.— Laisse-toi faire.— Attends. Elle se tourna sur le côté, le temps de retirer son string et sa protection périodique, puis revint vers moi pour m’aider à retirer mon t-shirt et mon caleçon. Elle s’allonge à sur le dos, offerte. Je la regardai quelques instants, admirant sa beauté abandonnée, livrée à mes caresses. Puis je m’allongeai sur elle, d’abord sans la pénétrer, ressentant sa peau contre la mienne, la rondeur de ses seins contre ma poitrine, son ventre contre mon ventre. Mes mains parcouraient son corps, de sa fine taille à sa nuque, sans oublier ses cuisses, ses chevilles, ses orteils. Elle avait fermé les yeux, et sa bouche entrouverte appelait la mienne. Je la pris et l’embrassa avec une tendresse infinie. Je bougeais enfin mon bassin. Tout en poursuivant mes caresses et mes baisers, j’approchais mon gland de l’entrée de la grotte ensanglantée, sans hâte pour mieux la préparer. Mon membre glissait sur son ventre, laissant une traînée luisante sur sa peau sur ses poils pubiens. Ma verge écarta ses grandes lèvres, se glissant dans son humidité, tandis que mon gland se frottait à son clitoris érigé. Je poursuivis ainsi pendant de longues minutes, sans encore la pénétrer, sentant son plaisir monter, son regard se voiler, son souffle se raccourcir. Elle poussait maintenant de petits gémissements à chaque mouvement sur son clitoris. Elle ...