1. Le départ


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, fplusag, avion, toilettes,

    ... de Shakespeare. Elle me félicite (j’avoue être vaguement doué pour les langues… oui, au moins cela, me direz-vous) et je lui retourne le compliment. J’ai l’impression que tout est plus silencieux autour de nous et je vois que l’avion s’est assombri. (Normal c’est un vol de nuit.) Par contre, ce n’est plus une impression, mais une certitude : il y a quelque chose entre nous et nos mains se touchent pour sceller cette alchimie. Rhonda (elle m’a donné son prénom) me regarde et dit : — J’ai toujours rêvé d’appartenir au club des 10 000 et vous ?— Qu’attendons-nous ? Nous précédant l’un l’autre de quelques secondes, nous nous dirigeons vers l’arrière de l’avion et rapidement entrons dans les toilettes. Je referme la porte et boudiou… nos langues se cherchent et entament un ballet ultrarapide pendant que nos mains jouent à qui caresse le mieux… Dehors il fait –35° mais ici c’est surchauffé. Tout en se roulant des pelles de folie, je lui relève son tailleur et elle m’aide du mieux qu’elle peut dans cet espace étroit. Waouh, un porte-jarretelles bleu foncé et un string de même couleur me sont dévoilés, et cette lingerie sensuelle enflamme encore mes sens. Elle a ouvert son chemisier et, baissant son soutien-gorge assorti au reste, en a sorti un sein, rond, chaud avec une aréole brune et dure qu’elle tire et fait rouler avec le bout des doigts de sa main gauche tout en murmurant des « so good… ». Sa main droite empoigne fermement ma queue et, comme elle fait entendre un hmmmm ...
    ... flatteur, je m’introduis d’une seule poussée en elle. Un feulement satisfait retentit. Sa chatte est étroite et ruisselante et, guidé par ses doigts qui maintenant griffent mon dos, j’y vais franco après quelques allers-retours plus lents. Bon sang, que c’est bon ! Elle continue à râler des « so good » et comme elle rajoute « harder, harder », j’accélère encore mes coups de reins. Entre deux pelles baveuses, j’arrive à lécher son sein. C’est une vraie friandise dans ma bouche. C’est délicieux et affolant. Elle me serre maintenant avec ses deux bras, le dos contre la paroi. Ses longues jambes m’enserrent et je la sens grimper dans la sensualité. Je me concentre sur son aréole, l’autre sein étant toujours dans sa prison de dentelle et elle cogne son bassin contre ma queue de plus en plus fort. — Come come yeeeeeeeees…— Yeeees… moi aussi je lui réponds et je jouis dans sa petite chatte en la mordillant au cou… Bon sang, cela n’a pas duré plus que quelques minutes, mais je crois que tout ce petit jeu de séduction esquissé a compté double ! On halète un peu et, tout en me regardant dans les yeux, elle récupère avec ses doigts le sperme qui commence à couler entre ses jambes, le porte à sa bouche et le lèche en disant : — J’aime trop le foutre… et le tien est délicieux.— Il y en a encore sur ma queue, little honey. Ni une, ni deux, elle se baisse et me nettoie consciencieusement la queue avec sa langue. Elle se relève, se pourlèche les babines et m’embrasse tendrement. J’ai le goût de son ...