La vraie histoire du Chaperon Rouge (1) - Histoires de Sexe

La vraie histoire du Chaperon Rouge (1)

Episode du chasseur (en attendant le loup) Nous connaissons tous cette histoire, avec un petite fille et un méchant loup. Nous avons tous été bernés, cette histoire est toute autre. Il existait effectivement une petite fille, toujours coiffée d’un foulard rouge, d’où son surnom. Elle vivait seule avec sa mère, en lisière d’une forêt. Leur moyen d’existence était les champignons qu’elles ramassaient et revendaient. Elles allaient donc tous les matins à la cueillette, puis faisaient les marchés l’après midi. C’était un bois tranquille, peu fréquenté, et elles n’y faisaient que de rares rencontres: — un chasseur grand et fort, qui aurait pu être le père du chaperon. — un loup aux pouvoirs magiques, dont celui d’être immortel ou de parler, et qui veillait sur la sécurité de ce lieu. Ils étaient tous les deux très gentils, et elle avaient plaisir à les croiser et discuter. Le dimanche elles rendaient visite à la grand-mère de la petite, qui habitait à l’autre bout de la forêt. Des années passèrent ainsi, jusqu’au jour où le chasseur vit le chaperon solitaire: — Bonjour ma jolie. Tu es seule, ta maman est malade? — Bonjour chasseur. Non, elle va bien mais elle se fatigue à venir ici. Alors elle a décidé que j’étais assez grande pour venir toute seule. — C’est vrai que tu es grande, et très belle. Ca te fait quel âge maintenant? — Je vais bientôt faire vingt ans. — Vingt ans! Comme le temps passe, dire que je t’ai connue toute petite. C’est quand ton anniversaire? — Dans deux ...

... mois. — J’aurais quelque chose à te montrer pour fêter ça, une chose que tu n’as jamais vue. — C’est quoi chasseur, dis moi. — Patiente petite, attends tes vingt ans. La petite insista et le chasseur céda. Il lui parla d’un beau champignon qu’il avait entre les cuisses, et qui poussait en quelques secondes. Elle voulu le voir sans attendre et il accepta après qu’elle lui ai juré de n’en parler à personne. Il ouvrit son manteau puis son pantalon. Elle vit alors comme une saucisse qui pendouillait. Aussitôt cette saucisse se raidit, grossit, s’allongeât, se relevât, jusqu’à se dresser à la verticale. Ca ressemblait effectivement à un superbe champignon, un large pied d’environ vingt centimètres de haut, surmonté d’un superbe chapeau en proportion. Le Chaperon resta quelques instants bouche bée, admirative, puis se ressaisit: — Oh chasseur, c’est magnifique! Comment tu fais ça? — Il n’y a rien de secret, c’est la nature qui fait que le sexe d’un homme s’épanouit devant une belle fille. Tu n’en as jamais vu? — Non, c’est la première fois. — Tu peux le toucher si tu veux, il ne vas pas te mordre. Elle était subjuguée, et avança sa main sans même réaliser ce qu’elle faisait. Elle se saisit de la hampe à pleine main: — Oh chasseur, il est gros ton truc, il est dur, il est chaud. — Il te plait? Tu peux lui faire un câlin si tu veux. — Ca veut dire quoi? — Viens, suis moi à ma cabane, je t’expliquerais. — Je voudrais bien chasseur, mais je n’ai pas le temps; il faut que je remplisse mes ...