La vraie histoire du Chaperon Rouge (1)
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Erotique,
... paniers. — On peut s’arranger, tu viens avec moi et puis je t’aide pour finir ta cueillette. — Non, je préfère le contraire. On ramasse d’abord, et s’il me reste du temps tu m’expliqueras ce que je dois faire. — Jure moi que c’est vrai, et que tu ne me tends pas un piège. — Oh chasseur, ce n’est pas gentil. Je te jure que si on finit de bonne heure je ferais tout ce que tu veux. — Ok, alors ne perdons pas de temps. Il se rhabilla, et il se mirent à l’oeœuvre pour chasser les champignons. Les paniers furent vite complets et ils les amenèrent pour les déverser dans une petite carriole qu’elle trimbalait pour entreposer sa récolte. Celle-ci était pleine maintenant, et il leur restait du temps. Ils allèrent alors à la cabane, à l’abri des regards indiscrets bien qu’improbables. Le chasseur enleva son manteau, baissa son pantalon, s’assit sur une chaise, et fit repousser son champignon. La jeunette était à nouveau émerveillée devant ce miracle, et il savait qu’il pouvait en profiter: — Viens ma petite, mets toi à genoux entre mes jambes, et caresse moi. Elle aimait bien le chasseur, avait confiance en lui, ne voulait pas lui déplaire, et elle s’exécuta. Il la guida pour bien s’occuper de son champignon, puis l’éduqua sur ce qu’était le sexe d’un homme, le gland, la hampe, les testicules, le sperme, et aussi d’autres mots plus cochons comme bite, queue, couilles, foutre, j’en passe et des meilleures. Il lui expliqua aussi la bandaison, l’éjaculation suivie d’un coup de mou. Elle ...
... écoutait tout sans cesser de caresser ce long manche qui la fascinait. Ses attouchements étaient de plus en plus délicieux, il sentait son plaisir venir et lui fit plaquer sa main sur son bourgeon. Elle sentit les spasmes de son sexe, et un liquide chaud se répandre en plusieurs fois dans sa main. Elle était surprise bien que prévenue, presque pétrifiée, et il la rassura: — Ne t’inquiète pas petite, laisse ta main, puis quand ma queue sera calmée tu pourras me caresser à nouveau, étaler mon sperme sur mon manche. Elle ne voulait que lui obéir, et fit comme il disait. Elle lui lustra la colonne puis regarda sa main couverte de son foutre. Il la sentait à sa merci, et poussa plus loin son audace: — Tu peux lécher ta main, il est bon mon jus, goûte et dis moi. Elle obéit une nouvelle fois, lécha, fit la grimace, lécha à nouveau, sembla apprécier puis nettoya toute sa main. Le chasseur la regardait faire de ses yeux cochons, ravi de la voir ainsi soumise: — Oui, c’est bien petite coquine, il te plait mon sperme? — Oui chasseur, c’est un peu salé mais j’aime bien. — Alors tu vas me lécher la queue si tu en veux encore. — Oui chasseur, je vais bien te nettoyer ta bite. Elle s’appliqua à la lui mettre toute propre. Il avait débandé, se rhabillait: — Ca t’a plu chaperon? — Oh oui chasseur, c’était trop bien, on pourra recommencer demain? — Mais bien sûr, tous les jours si tu veux. Ils se quittèrent en se promettant de se revoir. Le lendemain il l’aida dès le matin pour sa cueillette. ...