1. Lettres d'une femme mariée - 4


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail collection, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, journal, lettre, confession,

    ... pouvais que constater l’état d’hébétude dans lequel je me trouvais parce qu’il réagissait toujours là où je ne l’attendais pas… Il me fit un large sourire dans lequel je ne sais ce qui dominait, une ironie un peu condescendante, une réelle tendresse, ou la satisfaction orgueilleuse de me dominer… Il me fallait en tout cas être à la hauteur et avoir le courage de me placer sur ce terrain : — Je me rends compte que je ne sais rien de vous… de votre désir dont vous m’avez parlé pour d’autres femmes… Je viens d’apprendre en partie ce qu’il en est avec Muriel, mais… est-ce que vous pouvez m’en dire davantage ? Il paraissait ravi de mon attitude, comme si, au contraire de moi, il s’était préparé à répondre à mes questions. — Pour ce qui est de Muriel, lorsque je l’ai vue pour la première fois, je ne peux pas vous cacher que cela m’a fait vraiment quelque chose… Elle était toute mignonne avec son allure un peu trop sérieuse de jeune fille rangée. En même temps, son petit air têtu et sa détermination m’ont touché… Dès le début, j’ai perçu qu’elle tenait absolument à avoir ce poste et qu’elle était prête pour cela à… Il s’est interrompu par peur sans doute de me choquer par la crudité de ses propos, à moins que ce ne soit par celle de la situation qui ne renvoyait pas de lui une image très flatteuse. — Le fait est que je lui ai très vite demandé… plus que ce que l’on exige d’habitude d’une employée… Mais, ce n’est pas comme avec vous… Cela n’a jamais été comme avec vous. Notre ...
    ... relation a gardé un caractère purement physique et je ne voulais pas qu’elle me parle trop d’elle et de sa vie… J’étais heureuse d’entendre sa version, après celle que m’avait donnée Muriel. — Tout c’est passé très simplement la première fois… J’ai défait ma braguette et elle m’a sucé jusqu’au bout… puis elle s’est rhabillée comme si de rien n’était, et nous avons parlé d’autre chose. Malgré la teneur de ses propos, j’étais finalement rassurée qu’ils correspondent à ceux que j’avais déjà entendus. C’est sans jalousie aucune que j’ai poursuivi mes questions : — Qu’est-ce qu’elle vous apporte de différent de moi… à part, bien sûr, sa jeunesse ?— Quelque chose qui va avec… Ce n’est pas seulement la sensation particulière de jouir de son corps de femme, qui comme tout autre… ne ressemble à aucun… C’est vrai qu’il est différent du vôtre, que ses seins menus et si fermes qui tiennent entièrement dans mes mains n’ont pas la plénitude des vôtres, si majestueux et généreux, qui répondent plus souplement à mes caresses… C’est vrai aussi que ses hanches étroites et que son petit cul n’ont rien de comparable avec vos hanches qui ont l’amplitude souveraine et avenante que seules peuvent posséder celles qui ont des enfants… Et puis il y a vos fesses qui, sans être trop grosses, me comblent par la générosité de leurs proportions ! Ces rondeurs toutes féminines que vous portez avec tant de grâce et d’élégance et qui me régalent lorsque je vous vois nue, Muriel ne les a pas. Ce qui me trouble dans ...
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