1. Ruby et la police


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fhhh, couplus, uniforme, forêt, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fdanus, jeu,

    ... police alors qu’elle se baladait à poil dans le bois…— L’inspecteur a raison, ma chérie. Tu n’as pas envie de passer la nuit au poste, quand même ? Après tout, ce n’est qu’un mauvais moment à passer… et si j’en crois la raideur de tes tétons et les frémissements humides de ton petit minou, il ne sera pas peut-être pas si désagréable que cela.— Rassurez-vous : ça ne durera qu’un instant, ma p’tite dame. Le temps d’aller chercher les gants d’examen dans la voiture et je suis à vous. Ne bougez surtout pas. Je me tenais aux côtés de Ruby, appuyé contre le capot, et j’avais bien du mal à cacher mon excitation. Ma tendre et douce était visiblement aussi excitée que moi, même si elle se serait fait couper la langue plutôt que de l’avouer. — Espèce de salaud ! On dirait que ça t’amuse de les voir m’humilier. Je suis la mère de tes enfants, quand même !— Mais je n’y suis pour rien, moi ! J’essaie simplement de nous éviter une nuit au poste. Plus vite tout ceci sera fini, plus vite nous pourrons rentrer à la maison et rejoindre nos enfants. Tu n’as quand même pas envie que notre petite escapade se retrouve demain matin dans la gazette locale ?— Tout ça est de ta faute ! Et je peux te garantir que tu me le paieras !— J’en meurs déjà d’impatience, mon amour… Je l’ai attirée vers moi pour lui dévorer la bouche et laisser mes mains courir sur sa peau brûlante. Elle avait beau jouer à la vierge effarouchée, à l’innocente victime d’un abus de pouvoir de la maréchaussée, l’enthousiasme avec ...
    ... lequel elle a répondu à mon baiser et les frissons de plaisir qui lui ont brusquement électrisé les chairs ne laissaient aucun doute sur l’excitation intense qui lui bouleversait le corps et l’esprit. Et je n’ai pas dû m’appliquer bien longtemps pour sentir les larmes de sa jouissance couler entre mes doigts. — Jacques… Oh Jacques… Arrête… Tu vas me rendre folle…— C’est toi qui me rends fou, mon amour. Tu es tellement belle, tellement excitante… Regarde le sergent Varnier, dans la voiture : tu le rends fou lui aussi. Alors qu’il était censé fouiller notre véhicule, le jeune homme ne pouvait détacher son regard du corps nu de Ruby, brillant dans la lumière des phares et tremblant de plaisir sous l’intensité de mes caresses. À la vue du sergent s’astiquant le poireau devant l’impudique exhibition de ses chairs dénudées, Ruby a laissé échapper un long gémissement d’extase tandis que sa petite chatte se mettait à couler à gros bouillons. — Tu aimes ça, hein, ma petite cochonne ? Tu aimes être matée par des inconnus, pas vrai ? Tu aimes qu’ils te voient jouir devant eux, comme tu jouis en cet instant pour le plus grand plaisir du jeune sergent. Ça t’excite, hein, de le voir se branler devant toi ? Tu es une vraie salope, tu sais. La plus adorable des salopes, en fait. Une salope que j’aime par-dessus tout et qui n’appartient qu’à moi. Elle m’a regardé de ses yeux brillants avant qu’un délicieux sourire complice ne se dessine sur ses lèvres. J’ai à peine eu le temps de l’embrasser ...
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