1. Ruby et la police


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fhhh, couplus, uniforme, forêt, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fdanus, jeu,

    ... l’inspecteur m’a adressé un clin d’œil discret auquel j’ai immédiatement répondu. Comme je l’avais espéré, nos amis de la police nationale étaient visiblement disposés à profiter de l’occasion qui leur était offerte, et lorsque le sergent a ouvert la portière de Ruby, elle n’a pas eu d’autre choix que de sortir en essayant d’enfiler ses vêtements. — Laissez donc ces vêtements dans la voiture. Vous ne voudriez pas les abîmer, n’est-ce pas ?— Mais… mais… Enfin, Jacques, dis quelque chose ! Tu ne vas quand même pas…— Je crois qu’il vaut mieux obéir à ces messieurs, ma chérie. Elle m’a regardé d’un air furibard, et mon petit sourire n’a pas arrangé les choses. Un bras pressé contre ses seins, une main glissée entre ses cuisses, mon adorable épouse est finalement venue se presser contre moi en se demandant où cette histoire allait nous conduire. Pour ma part, je trouvais cette petite aventure tout à fait amusante, et j’avais une furieuse envie de revivre notre aventure égyptienne. — Appuyez vos mains contre le capot de la voiture, Madame, en écartant bien les jambes… Oui, comme ça… un peu plus, même… Parfait. Voyez-vous, on a eu affaire à des trafiquants de drogue ces derniers temps, et vous ne pouvez pas savoir les trucs qu’ils imaginent pour passer leur came. Pas plus tard qu’il y a un mois, ils ont arrêté une femme à Roissy qui transportait près de quatre kilos de coke dans une fausse poitrine. Vous comprenez que je dois vérifier que ce n’est pas votre cas, n’est-ce pas ? Les ...
    ... mains appuyées contre le capot, les jambes largement écartées, Ruby tremblait d’effroi autant que d’excitation en sentant l’haleine chaude de l’inspecteur lui caresser le cou. Les boucles blondes de son buisson scintillaient dans la lumière des phares, et on pouvait distinguer des larmes de plaisir accrochées aux dentelles irisées de son petit minou tandis que les mains du policier lui malaxaient les seins. — Je suis heureux de constater que ces admirables lolos sont tout ce qu’il y a de naturels. Leur peau est douce, souple et chaude, extraordinairement sensible aussi. Vous pouvez en être fière, ma p’tite dame. J’ai rarement vu des tétons qui réagissaient aussi sensuellement aux caresses. Mais les passeurs ont bien d’autres tours dans leur sac, et je vais être obligé de m’assurer que vous ne vous servez pas de votre délicieuse anatomie pour cacher des substances illicites.— Ah non ! Ça suffit, maintenant ! Vous voyez bien que je n’ai pas une tête de trafiquante, quand même !— Ah, s’il suffisait de se fier à la tête ou au physique des suspects, notre travail serait bien plus simple, Madame. Mais si vous ne voulez pas nous laisser faire notre boulot, je vais être obligé de vous emmener au poste. Je connais pas mal de collègues qui se feront un plaisir de procéder à votre interrogatoire, sans compter les pseudo-journalistes qui traînent tous les soirs aux abords du commissariat et qui seront ravis de publier dans leur gazette l’histoire d’une jeune et jolie femme arrêtée par la ...
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