1. Une journée sur les chantiers


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, neuneu, Collègues / Travail facial, Oral pénétratio, fsodo,

    ... plein de voitures côte à côte. Je suis très content qu’elles soient toutes immobiles. Nous prenons l’ascenseur. C’est un exercice que je n’apprécie que moyennement, chaque fois qu’il monte ou descend, j’ai l’impression de perdre l’estomac. La porte s’ouvre enfin sur un grand couloir dans lequel nous marchons jusqu’à une porte noire avec une inscription portant un très beau dessin « SARL Zozou Bâtiments ». Papa sonne. La porte cliquette, il la pousse et nous entrons. Au fond de la pièce, je vois la grande brune Aïcha assise derrière son bureau, ses cheveux noirs et lisses, compactés en un seul bloc, lui tombent plus bas que les épaules. Elle a l’air surprise. — Zozou ! Quelle belle surprise. Elle se lève et vient à notre rencontre. Elle me dépasse facilement d’une tête et, pour me faire la bise, elle a dû baisser le buste. J’ai pu apercevoir, rien qu’une fraction d’une seconde, deux petits seins en forme de chapeau chinois qui se dressaient librement en dessous d’un chemisier blanc largement décolleté. Vite elle me laisse et elle se colle à papa, reposant sur lui tout son corps mince et effilé qui dégage une exceptionnelle énergie. Elle ferme ses mains autour de son cou, un pied en l’air. Elle lui chuchote d’une voix veloutée : — Alors patron, trois jours que tu ne rentres pas au bureau, je commençais à m’inquiéter.— Beaucoup de problèmes sur les chantiers, et puis il y a cet architecte de merde qui m’a fait chier. Hier j’ai passé toute la journée avec lui, il change de plan ...
    ... en cours de route et il veut qu’on refasse tout à nos frais, il rêve !— Et alors, t’as pas pensé à ta petite Aïcha ! Après un long regard droit dans les yeux, Aïcha pose ses petites lèvres brûlées sur la bouche de papa. Il a l’air gêné, et la poussant légèrement, il lui dit : — Tu vois bien que Zozou est là, un peu de pudeur s’il te plait.— Pudeur, pudeur, tu me demandes de la pudeur alors que je suis toute en flammes, Karim, t’es pas conscient de moi.— Attend au moins que je le mette quelque part. Papa se dégage d’Aïcha et me prend par la main. Il m’emmène droit dans une pièce au fond. Il y a un tabouret et des armoires en bois jaune qui montent jusqu’au plafond. J’entends Aïcha implorer papa : — Viens Karim, prends-moi tout de suite, je n’en peux plus.— Doucement Aïcha, pas de bruit s’il te plait.— Viens Karim, j’ai vraiment le feu au cul. Resté seul, les gémissements d’Aïcha qui me parviennent me font un drôle d’effet. Cela me rappelle Brigitte l’autre jour, je veux voir. Dois-je ouvrir la porte ? J’hésite, j’ai peur de la punition de papa. Mais je sens que je n’ai pas le choix, quelque chose en moi transcende toute crainte, je l’ouvre. Papa et Aïcha sont tous deux nus. Aïcha tient le bureau à deux mains et lance son corps derrière elle, en parfaite équerre, les jambes légèrement écartées, son derrière bandé dans l’axe de mes yeux. Papa malaxe ses fesses avec ses deux grandes mains puis, pliant son corps, il baisse la tête et se met à inspecter le petit derrière à peine ...
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