Le feu sous la glace
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
f,
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... Karine, retire ta main. Il faut vivre dangereusement ! Je retire. C’est comme une décharge électrique. Je suis si près du jet que je ressens sur mon clito les pulsations de la pompe. L’orgasme m’envahit en quelques secondes. Monstrueux. Les spasmes se succèdent, me tordant le ventre, m’envoyant de telles ondes que mon corps semble pris de convulsions. Sans en avoir conscience, je crie, je hurle de plaisir. Pierre, surpris au début par la violence des secousses, arrive à me maintenir tant bien que mal sur le jet. Mes cris se transforment en un râle continu. Est-ce le même orgasme qui se prolonge ou plusieurs qui se succèdent ? — Stop ! Pierre, je n’en peux plus, j’ai mal. Épuisée. Au bord de l’évanouissement. Pierre m’aide à sortir de l’eau et me regarde avec incrédulité, le sourire aux lèvres. — Karine, c’est incroyable, tu t’es envoyée en l’air d’une force ! Toi ! Je suis cuite, le regard vague, l’impression d’avoir été shootée. Lui, il est tout heureux et il me prend dans ses bras pour me couvrir de baisers. Tout à coup, j’ai honte. Depuis tout à l’heure, je le fais bander comme un malade, je m’éclate seule devant ses yeux et il est tout content. Il ne pense pas à lui, il ne pense qu’à moi. Les larmes me montent aux yeux. J’ai promis de lui faire l’amour, j’ai envie de lui faire l’amour. Comment faire ? Comme la veille j’ai la chatte gonflée, lessivée, explosée par la pression de l’eau. La douleur est présente depuis mon clito tuméfié jusqu’au fond de mon vagin. HS pour le ...
... moindre câlin. Je l’aime. Je ne peux pas le laisser, une fois de plus, dans un état pareil, les couilles gonflées et douloureuses pour qu’il aille se branler dans un coin. Lui faire une pipe ? Je ne sais pas faire, je n’ai jamais essayé. Je m’en sens incapable dans l’immédiat, je serai trop maladroite. Alors, que faire ? Tout à coup la solution, une évidence. Je vais lui offrir ce dont il rêve, ce qu’il n’ose même plus me demander. Je vais assouvir son grand fantasme. Quoi ? Vous avez deviné. Mon anus encore vierge et plus éloigné a résisté vaillamment à la pression de l’eau (sinon j’aurai eu droit au lavement de ma vie). Blottie dans ses bras, je lève les yeux pour croiser son regard. — Chéri, pour notre câlin… j’ai trop mal au sexe… Il est tout dépité, mais ne proteste pas. Un Amour. Renforcée dans ma décision, je lui propose l’inconcevable. — Tu vas me prendre autrement. Trouve un lubrifiant. Sur le coup il ne comprend pas. J’ai toujours refusé la moindre pénétration anale. Contre nature. Dégoûtant. Défense d’entrer. Un interdit total. Aussi je précise : — Oui, tu as bien entendu. Tu feras doucement, c’est une première. Il me regarde avec stupéfaction et avec un grand sourire court dans la maison. Il revient en brandissant une bouteille d’huile d’olive. Son sexe droit comme un I lui remonte presque jusqu’au nombril. — C’est de l’extra vierge, c’est pile poil ce qu’il faut, me lance-t-il en riant.— Donne-la moi, je vais me lubrifier moi-même. J’en passe une couche entre mes ...