1. Le feu sous la glace


    Datte: 09/08/2018, Catégories: f, fh, couple, vacances, piscine, Masturbation fsodo, init, journal,

    ... fesses, j’en repasse. Je m’enduis l’anus en faisant entrer avec timidité un doigt. J’en barbouille également son sexe en le décalottant au max. Ce pieu me semble soudain démesuré par rapport au petit conduit que je viens de huiler. Carrément angoissée, je décide de diriger les opérations. Si j’ai trop mal, pas question d’aller au bout. Je le fais asseoir sur les marches de la piscine, à moitié dans l’eau en lui disant : — Tu ne bouges pas, laisse-moi faire. Je m’accroupis comme pour m’asseoir sur lui en lui tournant le dos. — Écarte-moi bien les fesses. Prenant son sexe en main je le positionne à l’endroit adéquat et j’essaye ensuite de l’introduire en douceur en dandinant des fesses. Pas facile. Punaise, il est trop gros. Je n’y arriverai jamais. C’est impossible. Je persiste quand même dans mes contorsions entamant une sorte de danse du ventre qui finit par être efficace. L’huile et mon poids aidant, je sens mes sphincters s’élargir puis céder d’un coup. Punaise, il est rentré ! Son gros gland est rentré ! Une sensation très étrange d’avoir l’anus dilaté… en permanence. — Qu’est ce que tu es étroite ! commente-t-il. Voyant que je reste bloquée, tétanisée, Pierre, lentement, me tirant par les hanches, me fait descendre sur son sexe bien lubrifié jusqu’à ce que je me retrouve assise sur lui. Punaise, je l’ai à fond ! Même pas mal. Juste l’impression d’avoir une chose intruse dans le rectum, d’être remplie, envahie… ...
    ... empalée, voilà le terme exact. Très désagréable. Je n’ose plus bouger. Blocage total. Sentant qu’il devrait prendre l’initiative, Pierre me fait basculer doucement sur le côté. Je me retrouve à plat ventre sur le haut des marches de la piscine, les fesses pointant en l’air et les jambes dans l’eau tandis qu’il commence à bouger lentement puis de plus en plus violement… en fait il me laboure le cul, mon cher Mari, il m’encule bien comme il faut. Mes sphincters n’offrent plus de résistance. La pensée horrible que mon anus doit s’élargir comme un entonnoir. Heureusement, tellement excité d’assouvir son fantasme il ne résiste pas longtemps et explose au fond de mes reins. Guère de sensations. Décevant. Bon, ça y est. Corvée terminée. Au moins je n’ai pas eu mal. Il retire doucement son sexe, il sort… il sort… l’impression d’un truc hyper long et, soudain plus rien. Le vide. Je serre les fesses. Un réflexe. Comment une femme peut-elle arriver à jouir comme ça ? Il faut être malade. Punaise, cette impression d’avoir l’anus encore ouvert. Horrible ! Je n’arrive plus à marcher normalement. Je serre les fesses. — Chéri, je ne t’ai pas fait mal ? demande Pierre inquiet.— Non, pas vraiment.— Tu as aimé ? Si je lui dis que c’était moins désagréable que je le pensais, il va vouloir me sodomiser tous les jours. Pas question ! — J’ai détesté. Mais l’important c’est que je t’ai fait plaisir. Ma vie va changer, vous vous en doutez. 
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