Suis-je une salope ? (8)
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
Hétéro
... Non, reste où tu es ! Comment trouves-tu le body que tu m’as offert ? soupirai-je de plaisir. — Il te va à merveille, Salomé. Tu es magnifique et pleine de surprises, à ce que je vois. Et c’est pas pour me déplaire. Je constatai à la bosse au niveau de son pantalon la preuve que mon spectacle ne le laissait pas indifférent, bien au contraire, et je décidai de jouer le jeu jusqu’au bout, emportée par mon élan. — Hmmm... Tu sais, j’aimerais bien sentir ta queue dans ma bouche... dis-je en suçotant délicatement le bout de mon index en mimant une fellation et en le fixant avec une lueur perverse dans les yeux. Et toi, tu aimerais sentir le doux parfum de mon fruit bien juteux ? — Salomé, je... je ne sais pas ce que t’as prévu par la suite, mais là, avec ce que tu me montres plus le petit numéro au restaurant l’autre jour, tu me fais trop d’effet, je ne tiens plus ! dit-il en s’avançant vers moi. Victoire ! Voilà la réaction que j’attendais d’un mec, un vrai ! Ça avait été plus rapide que prévu, mais le résultat etait là. J’arrêtai mon vibro qui, je le pensais, ne me serait plus d’aucune utilité de toute la soirée ; et avant que je n’aie eu le temps de faire le moindre geste ou de dire un seul mot, sa bouche s’était collée à la mienne pour un baiser passionné. Sa bouche me dévorait le cou, embrassait le tissu, ses mains me caressaient les seins par-dessus mon body, et d’un simple geste il fit doucement sauter l’attache qui dévoilait mon intimité trempée. Je sentis ses pouces ...
... écarter mes lèvres vaginales devenues sensibles et sa langue laper mon jus à la source. Un cri étouffé s’échappa de ma gorge lorsque sa langue atteignit mon petit clito durci par le désir. Il le faisait rouler avec sa langue, en jouait, faisait durer le plaisir pour mon plus grand bonheur. Je me raidissais, me tortillais, gémissais, tordais les draps de mes mains crispées et, les yeux écarquillés, je me lâchai dans sa bouche dans un râle profond, comme si tout mon être me quittait dans ce fabuleux orgasme. Sa bouche mielleuse retrouva la mienne pour un baiser qui avait mon goût, mais je m’en fichais totalement. Je le déshabillai, fis voler ses fringues à travers la pièce, et comme possédée, je le fis s’allonger sur le dos et me jetai sur sa queue chaude et bandée à l’extrême. Je retrouvai la superbe queue qui me faisait perdre mes moyens chaque fois que je devais la sucer. Son parfum enivrant m’emplissait les narines, et mes yeux se fermèrent afin de la déguster de la façon dont elle le méritait, avec douceur, envie et amour. Mes yeux s’ouvrirent pour le regarder langoureusement pendant que ma langue caressait sa belle et délicieuse tige de chair de tout son long. — Oh, Salomé, tes yeux sont les plus beaux que je n’ai jamais vus et... Ooooh, ce regard de braise, ta langue est si chaude, si douce, si douée... souffla-t-il. — Ne me dis pas que tu vas m’en vouloir d’être tombée sous le charme de ta belle queue ? Je crois bien que c’est elle qui m’inspire. Je l’aime énormément, tu ...