Suis-je une salope ? (8) - Histoires de Sexe

Suis-je une salope ? (8)

... sais, déclarai-je entre deux baisers que je déposais sur son gland. — Tu vas peut-être être surprise, mais moi, c’est toi que j’aime ! Sous le choc, j’interrompis ma fellation à l’entente de ces mots. J’avais dû mal comprendre, ce n’était pas possible... M’avait-il fait une déclaration d’amour, ou bien le parfum de sa queue m’avait-il tellement enivrée que j’avais halluciné ce que je venais d’entendre ? — A... attends une minute ! Qu’est-ce que... qu’est-ce que tu viens de me dire ? balbutiai-je, les yeux pétillants en le lui demandant le plus sérieusement du monde, mes yeux plongés dans les siens. — Je t’aime, Salomé ! me dit-il en prenant mon visage entre ses mains. Je savais pas trop comment te le dire, c’est tout. — Je t’aime aussi, Frantz ! exultai-je en l’embrassant de toutes mes forces. Je me plaçai à califourchon sur lui, son gland à l’entrée de mon écrin de plaisir ; je le sentais frétiller, je voulais m’empaler sur lui mais il me retint. — Non, Salomé, attends, je t’en prie ! Je n’ai pas mis de capote! me freina-t-il. — Chhhhht ! soufflai-je sensuellement. Est-ce que tu as confiance en moi ? Je suis sûre que si tu avais eu quelque chose, tu m’aurais déjà avertie, je me trompe ? mxlmiiuh — Salomé, tu sais que j’ai confiance en toi ; je n’ai rien d’anormal, mais... — Alors laisse-moi faire. Je veux sentir la chaleur et la force de ton amour se répandre en moi, dis-je doucement en m’empalant sur lui. — Salo... Ooooh ! râla-t-il en fermant les yeux. Mes yeux roulèrent ...

... de bonheur et de satisfaction en sentant cette colonne de chair pénétrer mon intimité trempée et offerte. Enfin, je me sentais remplie de son désir sans le moindre morceau de latex m’interdisant de profiter pleinement de lui. J’effectuais un joli déhanché sensuel du plus bel effet lorsque ses mains saisirent mes hanches et me firent rouler sur le côté ; je me retrouvai sous lui. Cette fois, c’est lui qui imprimait le rythme, et mes jambes enserraient sa taille afin de l’attirer au plus profond de mon être. Je ne m’étais jamais sentie aussi heureuse que lors de cette union. Il alternait des mouvements de bassin rapides et fermes avec d’autres, lents et terriblement sensuels. Tous mes membres l’étreignaient, et sous une multitude de déclarations amoureuses j’enchaînais les orgasmes. Il se raidit. Mes jambes qui l’enserraient lui interdisaient de s’en aller, et je sentis se répandre en moi toute la chaleur de son amour semblable à un volcan entrant en éruption dans un râle étouffé par un baiser brûlant. Il finit par se retirer de moi à mon grand regret, mais c’était sa queue qui se recroquevillait, signe de sa satisfaction. Nous nous embrassions tendrement pour nous congratuler de cette superbe séance sexuellement amoureuse. — Je t’aime, Frantz, lui dis-je tendrement en l’enlaçant. — Moi aussi je t’aime, Salomé, dit-il en me caressant tendrement la joue, les yeux plongés dans les miens. Nos longs échanges de baisers, de caresses et de mots doux avaient eu don de raviver notre ...