Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couple,
couplus,
inconnu,
vacances,
plage,
douche,
revede,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
portrait,
occasion,
extraconj,
... goût de sel chez l’un, puis une pointe d’amertume chez un autre. Les lances s’engouffrent une après l’autre et m’empêchent de parler. D’ailleurs je n’ai rien à dire, juste à recevoir les jouissances et à m’en délecter. Je suis vorace ! Ma bouche est pleine. J’avale, je suce, je lape, je lèche, comme une chienne après son os, excitée et pas partageuse du tout. Des hommes prennent mes cheveux à pleines mains pour essuyer leurs sexes dégoulinants. Le duvet sous moi est mouillé et les embruns n’y sont pour rien. Ma chatte reçoit de belles enfournées. Mon fion s’est fait défoncer plus d’une fois. Combien ? Aucune idée. J’ai la fierté de m’assumer salope ! J’ai osé ! Toute une nuit. —oooOooo— Qui a fait quoi ? Tous ont fait, sans répit, pendant des heures, pas jusqu’à l’épuisement, non, mais jusqu’à ce que les érections deviennent vides et douloureuses. Le sperme me recouvre et sèche. Ma peau craquelle. Je veux rendre à César, ce qui appartient à César ! — Vos langues messieurs… pour me nettoyer… j’aimerais ! Des lapements délicieux et ma toilette est faite. J’en ai rêvé juste un instant, j’ai demandé. J’y ai cru ! J’ai eu tort ! Les hommes n’aiment pas imaginer lécher le sperme et encore moins s’il n’est pas d’eux. Mais ils ne sont pas à cours d’idée, enfin c’est Philippe qui me propose une lèche particulière : — Solenn, regarde ! La tarte aux pommes, c’est bon pour le corps ! Et nous sommes affamés. Il demande à Domi de lui apporter les parts de tarte. Il ouvre le sac. Je ne ...
... sais pas ce qui m’attend. Il insiste : — Le plaisir, ça ne fait pas de mal, torride Solenn. Il commence par placer une tranche de pomme cuite sur mon ventre, puis une autre. Il les mange sur moi. J’apprécie. Sa langue râpeuse finit de nettoyer le tour de mon nombril. La part de tarte arrive dans une autre main et le repas continue. Je suis aux anges, mais la faim me tiraille aussi. — Philippe, je veux en manger. Il me donne la béquée tandis que mon corps reçoit toutes les autres tranches de pommes. Les langues et les bouches s’en emparent l’une après l’autre. Je suis dégustée par les hommes, mes hommes. Puis il y en a un qui fouille dans mon sac de camping et en sort deux bouteilles d’eau minérale, une gamelle pour la faire tiédir sur le feu de camp. Ils me toilettent avec douceur et me sèchent avec délicatesse. Repue, apaisée, propre et heureuse, je ferme les yeux aux premières lueurs du petit matin les laissant partir sans un mot. Le sommeil a fini par m’embarquer, nous sommes vendredi, un treize. C’est bien. —oooOooo— Le festival des cerfs-volants, je l’ai vu, j’y ai goûté, à chaque instant, magique, explosif, lumineux, coloré, aérien, jusqu’au feu d’artifice et aux balais nocturnes du samedi soir, musical et dansant, une féerie. Les heures de plaisir ont défilé durant tous ces jours festifs et ma vie est devenue plus belle, jouissive. J’en ai profité ! À fond ! Mais d’un accord tacite, nous avons tous gardé le silence sur cette nuit unique, si particulière. Ils ne m’ont plus ...