Un vieux fantasme assouvi
Datte: 10/08/2018,
Catégories:
2couples,
extraoffre,
copains,
danser,
Oral
pénétratio,
... pouvait plus. — Non, cria-t-elle… ! Arrête. Puis, minaudant à nouveau tout en me faisant les yeux doux elle continua : — Je suis une femme mariée, monsieur. Je suis une femme sérieuse… Tout en me disant cela et sans lâcher ma queue, la petite salope se souleva pour encourager ma main à poursuivre son chemin. — Tu es une vraie petite pute, l’insultai-je. Sa chatte totalement trempée témoignait de son extrême excitation. Mes doigts entamèrent d’abord un mouvement d’aller-et-retour le long des lèvres, butant à chaque fois sur le clitoris. La belle répondait par un long soupir de satisfaction. Puis mon index et mon majeur la pénétrèrent, fouillant le vagin sans retenue. Elle poussa un cri de surprise et en même temps se mit à me masturber violemment, comme pour se venger. Tout en maintenant ma pénétration, mon pouce vint se poser sur son clitoris qu’il frotta avec insistance. Cette nouvelle épreuve lui arracha une série de petits cris de bonheur, tandis que son corps se tendait vers ma main comme pour en redemander. Elle avait atteint l’orgasme. — T’aimes ça, hein. Petite salope !— Oh oui ! Je suis ta salope, je suis ta pute… ! Je retirai ma main. Elle soupira d’aise en rouvrant les yeux et en me gratifiant d’un joli sourire. — Et si on enlevait ce joli petit string, dis-je ? Je le saisis par un côté, le descendit légèrement, puis saisis l’autre côté, réitérant l’opération et ainsi de suite, sans me presser, par petites touches successives, le string en découvrit de plus en ...
... plus. Chaque fois que ma main passait d’une hanche à l’autre, elle effleurait son sexe d’un frôlement contrôlé. Je sais que cette lenteur exaspérante est insupportable à une femme ivre de désir. Je savais qu’elle aurait voulu que j’arrache brutalement ce petit triangle de tissu… Mais j’avais tout mon temps. — C’est dur d’enlever ce petit string, lui dis-je en forme de provocation. C’est long… Finalement, quand son sexe fut totalement découvert, je descendis brusquement l’objet et l’en débarrassai. Maintenant elle était totalement nue, offerte à toutes mes volontés, à ma portée. Je ne pouvais plus quitter des yeux ce corps de nymphe, partagé entre un sentiment d’admiration béate et un puissant désir de la baiser comme une bête. Je sentais ma bite tendue à craquer. — Tu viens, me chuchota-t-elle avec un clin d’œil et tout en me masturbant doucement. Alors je m’approchai d’elle et m’apprêtai à la chevaucher… — Non. Pas comme ça,… Je préfère en 69.— Comme tu voudras… Petite cochonne ! J’obéis bien volontiers à cette injonction et me couchai sur ma partenaire selon ses désirs, la bouche contre ses lèvres intimes que j’avais si ardemment investies l’instant d’avant. Pendant que le bout de ma langue commençait un balayage systématique de son nid d’amour, je sentis ma queue absorbée par quelque chose de chaud et mouillé. Ce que j’aime dans le 69, c’est qu’une action de la part de l’homme entraîne une réaction immédiate de sa partenaire et que chaque réaction de sa partenaire pousse ...