1. Un vieux fantasme assouvi


    Datte: 10/08/2018, Catégories: 2couples, extraoffre, copains, danser, Oral pénétratio,

    ... l’homme à en faire encore plus. Cette escalade de la « violence » (mais quelle douce violence), amène l’un et l’autre vers une sorte de délire paroxysmique. Lorsque je le fais avec mon épouse, celle-ci jouit parfois si fort qu’elle est obligée de lâcher ma queue pour pousser un cri à réveiller les voisins… Elle est comme ça ma belle et tendre Véronique. Mais pour l’heure je n’oubliais pas que je baisais Géraldine, pas mon épouse, qui d’ailleurs faisait Dieu sait quoi en ce moment-là. Mon ardente amante eut son deuxième orgasme, tandis que moi, sentant que bientôt je ne répondrais plus de rien, je sortis vivement mon sexe de la bouche de la belle afin de pouvoir me reprendre. C’est là que nous vîmes arriver Stéphane et mon épouse. Curieusement, ce n’était pas ma femme qui était à poil, même si ses deux seins ressortaient maintenant largement de son petit haut, mais c’était mon copain. Elle l’avait mis dans le plus simple appareil et le tenait, non pas par la main, mais par sa queue, certainement alors bien dure. Décidément, les femmes sont aux commandes ce soir, pensai-je. — Je vois que tu n’as pas perdu de temps, mon chéri, ironisa-t-elle. Alors ? Comment tu la trouves ma copine ?— Chaude… très chaude, répondis-je dans un souffle ! Stéphane se mit alors en devoir de déshabiller sa partenaire. Il dégrafa d’abord sa jupe, en tira la fermeture éclair, et la laissa tomber à ses pieds. Puis, il défit l’unique bouton qui maintenait encore le petit haut et fit glisser celui-ci par ...
    ... le dessus. Ma Véronique exhibait désormais un mignon petit string noir à dentelles, seul vêtement qui lui restait. Elle était bandante, ce qui mettait mon copain très en forme à en juger par son sexe tendu à l’horizontale. — Alors qu’est-ce qu’on fait, s’impatienta Géraldine que j’avais momentanément délaissée ? Un galant homme ne fait pas attendre une femme.— Désolé ma belle. Je me suis laissé distraire par ma femme, mais je suis à toi maintenant.— Laisse tomber ta petite salope d’épouse. Mon mari s’en occupe. Me fixant de nouveau avec ce regard de provocation amusée, Géraldine me déclara : — Maintenant Jean, montre-moi que tu es un homme ! Sa provocation eut un effet immédiat sur mes neurones. Déjà énervé par les beautés que dévoilaient mon épouse, je me jetai littéralement sur le corps de Géraldine et la pénétrai d’une seule poussée de toute la longueur de ma queue, lui arrachant un sonore cri de bonheur. Puis je la limai vigoureusement, bien décidé à la faire hurler de plaisir. Son souffle se fit de plus en plus rapide, ses cris accompagnaient chacun de mes coups de boutoir, ses mains s’accrochèrent aux barreaux du lit, comme si elle eut été victime d’un violeur qui les lui auraient liées solidement. C’est à ce moment-là que, n’en pouvant plus, j’eus un formidable orgasme, me vidant en elle en d’innombrables giclées qui ne semblaient plus en finir (non j’exagère !). À ce même moment, elle poussa un cri encore plus violent que les autres, son corps se tendit soudain, puis ...
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