L'amant !
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... ventre ! Quelle puissance titanesque ! Il nous fallut un long moment avant que l’un de nous ose rompre le silence. — Je ne sais plus quel côté de toi j’apprécie le plus. dit-il enfin en retirant doucement sa verge. — C’est exactement la question que je me posais. Te sucer, c’est déjà quelque chose, mais là... dis-je en me replaçant sur le dos. — Je ne devrais pas te le dire, mais t’as un sacré cul, mon salaud. Je le repris amoureusement en bouche, autant pour le remercier que pour profiter des traces de sa semence. — Toi, tu as un sacré morceau. répondis-je. J’en veux encore ! Nous avons passé une bonne partie de la nuit éveillés. On joua un peu de la guitare, but quelques verres. Inévitablement, je bénéficiai de nouveau de ses bonnes grâces, beaucoup plus tendrement cette fois-ci. À l’instant où il m’insémina de nouveau cette nuit-là, je n’aurais souhaité pour rien au monde qu’une fille eût été à sa place dans mon lit. Si certaines femmes m’ont arraché des orgasmes à déchirer le ciel, jouir par un homme —et faire jouir un homme— est fondamentalement différent, mais tellement complémentaire. D’ailleurs, les quelques mois pendant lesquels j’ai usé et abusé de Patrick, les filles passaient étrangement au second plan. Patrick était tellement fascinant, tellement exquis, à la ville comme au lit. Sa capacité à me faire planer transcender toutes mes expériences sexuelles préalables. Avant lui, je m’offrais un mec pour varier mes plaisirs. Avec cet homme, une simple pipe devenait un ...
... voyage dont lui seul connaissait la destination. Par contre, c’était toujours en première classe et en “Open”. Nous ne restions jamais plus de quelques jours sans nous voir et sortions souvent les soirs où je ne travaillais pas. Capable de bander de nouveau quelques minutes après avoir joui, il ne fallait pas lui en promettre. Il excellait dans l’art de tester mes limites en me proposant ses doux sévices dans des situations aussi insolites qu’inédites pour moi à l’époque : beaucoup de parkings, de jour comme de nuit, la réserve de mon boulot, les bois lorsque nous faisions du jogging, les portes-cochères les soirs de bringue, au milieu d’homos dans le fameux parc, au dernier rang d’un cinéma, en cabine de piscine... Sa queue exquise n’avait plus de secret pour moi, j’étais habitué à faire face à ses impressionnantes éjaculations, et prenais plaisir à sentir longuement s’écoulait de mon ventre après qu’il y ait projeté son plaisir. Nous étions unis par un accord tacite de complaisance, tout de lui était parfait pour moi. J’ai eu l’occasion de faire quelques fêtes après des concerts avec ses potes sans qu’il y ait la moindre ambiguïté. Nous repartions parfois avec des filles pour finir nos nuits chacun chez nous sans le moindre sentiment de jalousie ni de culpabilité. Au contraire, on se racontait nos ébats dans les moindres détails, un peu comme le font deux bonnes copines. Car les filles ne s’en privent pas. Mais la vie sépare facilement les gens, qu’ils s’apprécient ou non. ...