Que la montagne est belle - Histoires de Sexe

Que la montagne est belle

... un week-end en montagne, dans le chalet de ses parents. Ce serait l’occasion de savoir ce qui s’était passé… Dix jours plus tard, je me retrouvais donc avec ma cousine sur les pentes d’un sommet pyrénéen : nous tentions d’atteindre le pic avant le lever du soleil, Sandrine m’avait dit que c’était un moment magique. Son rythme de marche nous fit tenir les délais, et installées sur une plate-forme de pierre, à 2300 mètres d’altitude, tournées vers l’est, nous attendions. C’est là que Sandrine me demanda : — Sophie, dis-moi, j’espère que ça va pas te choquer…— Quoi donc ?— Ben, quand je suis ici, il y a quelque chose que j’adore faire.— Ah oui, qu’est ce que c’est ?— Tu promets de ne pas m’en vouloir ?— Promis…— Voilà, j’adore me caresser quand le soleil se lève, en sentant les rayons sur ma peau. Toutes les idées fausses comme quoi ma cousine était une sainte-nitouche volèrent définitivement en éclats. — Ça te gêne ? J’hésitais… Je ne voulais pas paraître stupide à ses yeux. — Non… Si tu veux, je te laisse tranquille, je vais grimper encore un peu— Tu n’es pas obligée, tu sais. Tu peux rester là, après tout, tu m’as déjà vue nue, quand on était gamines. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne me levais pas. Le soleil commença à apparaître derrière les crêtes orientales. Sandrine déboutonna son short avant d’enlever son haut de sport et d’offrir sa poitrine magnifique aux premiers rayons. Le spectacle me bouleversa — Sandrine ? murmurai-je— Oui ?— Je peux faire pareil ?— ...

... Naturellement… Comme elle, je me mis à l’aise. Me voyant faire du coin de l’œil, Sandrine se rapprocha imperceptiblement de moi. Je la vis mettre sa main dans son short et commencer à s’exciter doucement. Dans mon dos, je sentais la pierre se réchauffer. J’imitai ma cousine, me découvrant déjà humide, tout en recevant la lumière. Froid, chaud, les pointes de mes seins se dressèrent… Je fermai les yeux. Puis je sentis, après l’avoir espéré inconsciemment, une main étrangère sur ma cuisse droite, et simultanément, des lèvres sur les miennes. Comme dans un rêve, j’ouvris la bouche, je sentis une langue entrer , jouer avec la mienne. Pendant ce temps, mon short descendait le long de mes jambes, me rendant totalement nue. J’ouvris un instant les yeux, le temps de demander : — Sandrine, que fais-tu ?— Chttt… Je t’offre un des meilleurs moments de ta vie, répondit-elle avec une voix envoûtante. Sa bouche descendit dans mon cou, puis à hauteur de mes seins, ses dents jouant avec mes pointes, tandis qu’un de ses doigts tentait de rentrer en moi. Je m’abandonnai totalement au plaisir qui m’envahissait. Sandrine plaqua ses lèvres sur mon sexe, et commença à me lécher d’une telle façon que je m’entendis gémir de plaisir… Je ne tardai pas à jouir, puis j’ouvris les yeux. Découvrant ma cousine devant moi, sa poitrine lumineuse, son sourire ravageur, plaçant ma jambe droite entre les siennes, et commençant à se frotter sur ma cuisse. Je posai mes mains sur ses hanches pour faciliter son va-et-vient, ...