Job d'été
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
hhh,
hplusag,
Collègues / Travail
revede,
Masturbation
intermast,
Oral
hdanus,
hgode,
hsodo,
... défis l’emballage. Je caressai ce sexe triomphant. Il était assez gros, parfaitement lisse avec un gland bien renflé. Je passais la main sous mon short pour constater une nouvelle fois mon érection. Je sortis ma bite. Elle était moins grosse, mais tout aussi raide. J’approchais le gode de ma bouche et avalait son gland froid. Il me remplissait. Je me mis à sucer ce gadget avec passion tout en massant mon membre coulant de désir. C’était bon de faire ça ici, à l’abri de ces piles de cartons, de colis, qui formaient un labyrinthe que je connaissais parfaitement puisque je le fabriquais tous les jours. Je me redressai et me mis nu. Je dus abandonner ma bite de peur de venir trop vite. Mon carton, mon trésor était là devant moi, débordant d’objets sexuels. J’ouvris un autre emballage et dévoilait une bite cette fois beaucoup plus réaliste, à part sa taille, elle était difforme. Je me mis à la sucer aussi. Je m’y croyais. Je suçais avec application, jouant avec ma langue sur le gland. J’allais et venais de l’un à l’autre. Je partouzais entre mes cartons avec des amants solides et endurants. J’entendis quelqu’un appeler. Je reconnus la voix du chef de dépôt. Vite je me rhabillais, compressant ma bite pour qu’elle reprenne une taille plus discrète. Je rejoignis mon chef. — Bonjour Monsieur.— Bonjour, dit-il en me regardant. Je sentais ses yeux sur mon torse nu et imberbe. Je sentis ses yeux glisser sur ma peau, arriver à la ceinture, entre mes cuisses. Je sentais encore battre ma ...
... bite, qui avait perdue en raideur mais restait gonflée de sang. J’avais le cœur battant. — Ça va ? demanda t-il.— Oui, tout va bien.— Le travail ? Pas trop dur ?— Non, tout va bien.— Il est vrai que tu es solidement bâti. C’est du solide. Il posa sa main sur mon épaule. Je sentis ses doigts rentrer dans les muscles, avec une puissance insoupçonnée. Je ne pus retenir la réaction de mon corps et ma bite se mit à battre et à gonfler rapidement. La bosse déforma mon short et devint visible. Il la vit.— Tu aimes que l’on te touche. Tu es excité ? Il se plaça en face de moi et son autre main partit entre mes cuisses. Quand ses doigts touchèrent mon membre, je me mis à transpirer, et à souffler comme un bœuf. Son autre main quitta mon épaule et descendit sur mon flanc. Elle passa sur ma fesse et glissa sous le tissu de nylon. Je sentis ses doigts glisser entre mes fesses. Il sortit ma bite de mon short. — Tu savais que tu excites tout le monde, on m’a raconté que des choses se disent sur toi. Que tu es giron, que tu as un beau petit cul. C’est vrai ? D’un coup, il tira mon short vers le bas. Je me retrouvais les fesses à l’air. — Tu aimes les hommes ?— Oui, répondis-je à voix basse. Sa main branlait ma bite.— Tu vas être servi. Il me poussa au milieu des cartons, dans mon abri, dont il m’avait vu sortir. — Tu te branlais là, au milieu des cartons ? Quand je suis arrivé tu avais la bite encore toute raide ! Petite salope ! Il me précédait, tout en me tirant par le sexe. Il découvrit ...