1. Job d'été


    Datte: 28/07/2017, Catégories: hhh, hplusag, Collègues / Travail revede, Masturbation intermast, Oral hdanus, hgode, hsodo,

    ... mon trésor. — Tu voulais te l’enfiler ? dit-il en me montrant le gros gode.— Non, je le suçais, dis-je.— Vas y suce le pour moi. Il me le donna et s’assit sur un carton. Allez, petite putain, met toi à poil. Montre moi ton cul. J’obéis et retirais mon short et mes baskets. Il se massait le sexe à travers le pantalon, il caressait sa bite tendue sous son pantalon de toile. — Tu m’excites ! Allez suce ! Je repris ma fellation sur cette bite. Je bandais. Je sentais mon jus couler de mon sexe. Petit à petit, je prenais goût à cette exhibition forcée. J’avalais le plus loin possible ce sexe. Je me montrais le plus possible. Je posais un pied sur un empilement de cartons, et lui montrais mes fesses, tout en me tournant vers lui, pour qu’il me voit avaler la bite. Il finit par sortir son sexe de son pantalon. Une bite pas très longue mais épaisse. Il commença à se branler sans me quitter des yeux. — Montre moi ton cul, grogna t-il. Je lui donnais satisfaction en écartant mes fesses. — Ah putain, tu m’excites, salope. Moi, j’étais complètement parti. Emporté très loin par la vague de mes fantasmes. Je m’allongeais à même le sol de béton. — Qu’est ce que tu fais ? Ses doigts enserraient sa bite et coulissaient à toute vitesse. Je pris l’autre gode, le plus lisse et le suçais, déposant un maximum de salive dessus. Je relevais mes cuisses sur mon ventre et le pointait entre mes fesses. Les yeux écarquillés, il me regardait faire. Il ne cessait de grogner et de dire : « Putain de ...
    ... petite salope ! » Soudain, son téléphone portable sonna. Il sursauta et lâcha sa bite. Il regarda qui l’appelait. Il décrocha. — Ouais, qu’est ce qu’il y a ? …………… Viens me rejoindre à l’entrepôt ! …….. Je t’expliquerai. Il raccrocha.— Tu vas voir ma salope. Allez viens me sucer un peu. Sa bite avait perdue de sa fierté à cause du coup de téléphone. À genoux, je vins m’installer entre ses cuisses. J’avais déjà sucé deux ou trois copains mais jamais un homme. J’attrapais son membre semi rigide. Je le branlais un peu. Il me força à approcher mon visage. J’ouvris la bouche et le prit tout entier. Il gémit. J’entendis les portes battantes claquer. — Patron ! Cria quelqu’un.— Je suis là, a droite ! J’entendis deux voix. Des pas. Ils approchaient ! ils allaient me découvrir ! Je suçais avec de plus en plus de passion la bite de mon patron. — Eh ben, Patron, ça va ouais ?— Putain, les mecs, celui là, il est bon. Je vis les deux magasiniers les plus anciens en train de me regarder. — Qu’est ce que je vous avais dit, dit le premier, un type la quarantaine, bien bâti, toujours en train de harceler les filles ou les plus jeunes.— Quel beau petit cul, dit le second, 50 ans de bêtise, un peu de bedaine, toujours mal fringué. « Tant pis », pensais-je. Ils s’approchèrent et m’entourèrent. Je sentis leurs mains se poser sur moi. Je repris la bite en bouche. Le premier sortit immédiatement sa bite et s’approcha. Je compris le message, abandonnait un instant le patron et avalait celle-ci beaucoup ...