1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... moi seulement la fille bien roulée que l’on aimerait mettre dans son lit.— La drague n’a pas l’air d’avoir bonne presse chez toi.— Les garçons se croient obligés de vous faire du rentre-dedans à la première occasion, c’est fatigant et rapidement lassant. Un peu après le début des cours à la fac, je me suis laissée avoir par un beau parleur qui, comme on dit, m’a fait une cour assidue. Mais, une fois que je lui eus cédé, il n’a rien eu de plus pressé que de se vanter auprès de tous ses copains qu’il m’avait dépucelée. De plus, les petites attentions et les mots gentils se faisaient de plus en plus rares. J’ai vite compris que, sauf pour tirer un coup de temps en temps, il n’en avait rien à faire de moi. Quinze jours après qu’il m’ait sautée, comme il disait, je l’ai largué… et devant ses copains en plus. Son ego en a souffert, mais il a dû s’en remettre sans problème.— Tous les garçons ne sont pas comme ça, heureusement. Tu jettes peut-être le bébé avec l’eau du bain. Mais revenons plutôt à ton sourire.— Je disais que je te trouvais plutôt sympa. Mais, après la fessée que tu m’as collée, j’étais furieuse en partant déjeuner, tu n’étais qu’un affreux macho. J’avais les fesses qui me brûlaient. Je commençais à ruminer ma vengeance. Paradoxalement, c’est à partir de mon retour que je t’ai vu d’un autre œil. Il ne m’a pas fallu cinq minutes pour me rendre compte que tu n’avais rien du macho triomphant. Tu étais gris. Tu avais l’air si malheureux. J’ai senti que tu devais être ...
    ... furieux contre toi-même plus que je ne pouvais l’être. Ça m’a calmée. Mes projets de vengeance m’ont paru alors bien inutiles. Je me suis même fait ma petite autocritique, car j’avais oublié un peu rapidement que j’avais essayé de t’envoyer une baffe. Et le mardi, quand j’ai parlé d’avoir dormi sur le ventre, tu es devenu tellement pâle que j’ai cru que tu allais te trouver mal. À partir de ce moment, j’ai repensé aux semaines précédentes et t’ai observé plus attentivement. Tu n’es pas très expansif. Mais tu aimable et serviable. Tu as le flair pour repérer les lecteurs au-devant desquels il faut aller et ceux qu’il vaut mieux laisser venir. Tu aides sans t’imposer. Tu peux donner un conseil ou demander l’avis aux gens sur les livres qu’ils rapportent. Quand tu peux, tu n’hésites pas à discuter avec les vieilles dames qui ont besoin de parler, à guider les gamins pour les devoirs ou les exposés.— Arrête, arrête, je vais prendre la grosse tête.— Enfin, pour abréger, je me suis sentie attirée par toi. Mais, vu ton état d’esprit, il était évident je pourrais attendre le déluge avant que tu me regardes sans te replier sur toi-même. Alors j’ai décidé de faire bouger les choses. La première chose qui m’est venue à l’esprit pour te faire réagir, ça a été de faire de la provocation. En y repensant, ce n’était peut-être pas une excellente idée. J’ai réussi à te pousser dans tes retranchements. Et quand tu m’as demandé ma culotte, j’étais vraiment heureuse que ça ait marché. C’est ...
«12...171819...42»