23 avril-6juin
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... probablement à ce moment-là que j’ai dû sourire. Je me suis dépêchée d’obtempérer avant que tu ne fasses machine arrière. Si tu avais vu ta tête quand je t’ai fourré mon slip dans la main ! Et il a presque fallu que je te pousse pour que tu t’assoies. Tu connais la suite.— C’est vrai. C’est lorsque tu t’es retrouvée sur mes genoux que j’ai fini par avoir des doutes. Mais, dis donc, tu es une sacrée rouée dans ton genre !— Peut-être un peu. Le regretterais-tu ?— Oh que non ! Heureusement que tu as secoué le cocotier. Autrement je ne pourrais pas te dire maintenant combien je t’aime. Elle se serre contre moi et pose sa tête sur mon épaule. En sortant du métro, je lui propose de venir déjeuner à la maison. Elle accepte, à la condition que ce soit elle qui fasse les courses et la cuisine. Affaire conclue. De retour chez moi, nous retrouvons Gwendoline au travail. Elle nous annonce qu’elle a bien avancé, mais qu’elle a encore du pain sur la planche. Sekhmet et elle sont devenues de grandes copines, ajoute-t-elle en nous montrant la table où elle travaille, et sur laquelle la chatte est étalée de tout son long. Je lui dis que ma maison lui reste ouverte quand elle en a besoin. Je propose aux deux sœurs de rester dîner. Gwendoline convainc sa sœur de rentrer car elle est un peu vannée. Je dîne rapidement et regarde la télévision en faisant un peu de repassage. Je ne me lève pas très tôt, malgré Sekhmet qui trouve que vraiment je tarde trop à m’occuper de son petit estomac qui crie ...
... famine. Après avoir bu mon thé, je me lance dans le ménage pendant que tourne le lave-linge. Je viens juste de finir quand Dominique sonne à la porte. Comme il fait toujours très chaud, elle est légèrement vêtue d’une robe bain de soleil d’un bel orange pas trop soutenu, tenu par un nœud sur la nuque et une petite fermeture éclair à la taille. Je ne peux ignorer qu’en haut elle ne porte rien d’autre. Cela lui va à ravir, elle est à croquer. Nous échangeons un baiser. Je lui prends son sac de courses et le porte dans la cuisine en lui demandant ce qu’elle a prévu. Mais ce doit être une surprise et je me trouve poussé hors de la pièce et prié d’aller voir ailleurs. Je n’insiste pas et en profite pour étendre ma lessive et mettre le couvert. Comme la porte de la cuisine ne s’ouvre toujours pas, je m’installe pour lire la "Vie quotidienne des Aztèques" de Jacques Soustelle. Dominique apparaît avec l’entrée. Une salade de crudités, composée de tomates en gros dés, d’un peu de poivrons verts et jaunes coupés menus, de quartiers de pamplemousse, de quelques groseilles, avec des gambas, des herbes hachées, arrosée d’un filet d’huile d’olive. C’est délicieusement rafraîchissant. Vient ensuite un gratiné de haddock et enfin une salade de fruits frais avec un trait de kirsch. Je la félicite de ce délicieux repas et lui dit que pour la peine elle mérite un baiser. Joignant le geste à la parole, je l’attrape par la taille. Elle est dos à moi. J’écarte ses cheveux pour l’embrasser dans le ...