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23 avril-6juin
Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,
... cou. Je dénoue le nœud qui retient le haut de sa robe. Elle ne le retient pas. Tout en continuant de lui bécoter et lui suçoter la nuque, je lui caresse le ventre avant de m’occuper de ses seins. Je commence par caresser les attaches sur le côté et en dessous. Mon mouvement se fait de plus en plus ample, progressant lentement vers la pointe que petit à petit je vois se dresser. Je finis par saisir ses tétons durcis et les fais rouler entre mes doigts. Elle pousse un petit « Oh ! » ravi. J’alterne frôlements et pressions. Je descends la fermeture éclair et sa robe tombe autour de ses pieds. Elle apparaît, magnifique, avec un slip de dentelle pour tout vêtement. Je continue de m’occuper de sa poitrine un bon moment avant de m’agenouiller. Je saisis sa mignonne petite culotte sur ses hanches, la descends lentement jusqu’à ses pieds et la lui retire. Je dépose des baisers sur ses fesses avant de lui faire faire un quart de tour. Je pose mes mains sur sa cheville. De là elle escalade avec lenteur toute la jambe. L’une arrive sur le mont de Vénus, l’autre à ses fesses qu’elle pétrit délicatement et où elle s’insinue pour atteindre la fente humide. Dominique pose un pied sur le canapé pour s’ouvrir davantage. Je peux faire glisser ma main entière sur son entrejambe. Mon médium s’insinue entre ses lèvres et finit par atteindre son petit bouton. À chaque passage, soit j’enfonce mon doigt dans son intimité, soit il va titiller son clitoris. Je sens sa féminité palpiter et entends ...
... son souffle s’accélérer. Elle s’appuie plus lourdement sur mon épaule. Elle frissonne et dit : — Arrête un peu que, je m’assoie. J’ai les jambes un peu molles.— Dans un cas pareil, il vaut mieux que tu t’allonges. Je vais t’aider. Je me redresse et dans le même mouvement la prends dans mes bras et la soulève. Je la porte jusqu’à ma chambre et la dépose sur le lit sur lequel elle m’entraîne. Dominique entreprend alors de me déshabiller. — Et une chemisette une, dit-elle en la jetant. Elle m’embrasse le torse. — Et un pantalon en prime. Et il traverse la pièce. Elle caresse mon sexe, déjà au garde-à-vous à travers le tissu de mon sous-vêtement. — Et maintenant qu’est-ce qui vole ? me demande-t-elle.— Les pigeons volent, en général.— Perdu ! C’est le slip qui vole. Effectivement, il vole jusqu’à la porte de la salle de bains. Je suis allongé sur le dos. Je la fais m’enjamber et placer son sexe à hauteur de ma bouche. Ma langue s’active. J’ai bientôt le visage inondé de sa liqueur intime. Après quelque temps elle se soulève et recule. Elle prend mon sexe en main et le pointe vers le sien. Le gland disparaît entre ses lèvres. Elle s’empale alors à fond, d’un coup. Tandis que mes mains s’occupent activement de sa poitrine, elle se soulève et se laisse retomber sur ma queue. Elle arrête son va-et-vient, se penche en avant pour m’embrasser, puis prend appui sur ses bras et déplie ses jambes tout en me conservant fiché en elle. Elle s’allonge sur moi. Nos bouches se joignent en un ...