1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... collection. Dominique me dit que les peintres plus modernes sont dans la salle à manger et la bibliothèque. Un quart d’heure est passé, elles commencent à s’alarmer de l’absence de leur mère. Je les rassure en disant que leur mère devait vouloir reprendre son sérieux et se rafraîchir un peu, qu’il faut lui laisser un peu de temps. Comme Gwendoline décide d’aller quand même aux nouvelles, Anne revient, vêtue d’une robe saumon s’arrêtant une dizaine de centimètres au-dessus du genou et retenue aux épaules par de fines bretelles. Gwendoline demande : — Vas-tu bien, Maman ?— Très bien, ma chérie.— On s’inquiétait de ne pas te voir revenir après que tu aies quitté la pièce presque en courant.— Tu es gentille de t’inquiéter. Il n’y a aucun problème.— Es-tu sûre ?— En revenant j’ai entendu Bernard vous rassurer. Je crois qu’il a compris la raison de mon absence et qu’il n’a pas osé la dire. N’est-ce pas ? ajoute-t-elle en se tournant vers moi. J’acquiesce.— Voilà, j’ai dû quitter la pièce un peu vite parce que je riais tellement que j’en ai fait pipi dans ma culotte. Gwendoline pousse un « Maman » scandalisé. — J’ai donc dû aller faire un peu de toilette et me changer. Ne prends pas cet air offusqué, ma chérie, dit-elle en se retenant de rire.— Excuse-moi, Maman. C’est la première fois que je te vois ainsi. Cela me surprend, mais je préfère ça, répond Gwendoline en souriant. Nous prenons l’apéritif avant de passer à la salle à manger. Le mobilier vaut celui du salon. Aux murs ...
    ... les toiles portent des signatures prestigieuses : Van Gogh, Delacroix, Sisley, Manet, Degas et Goya. Anne explique que c’est son beau-père qui a constitué la collection. Son mari quant à lui ne s’intéresse guère à l’art. Le repas froid est très gai. Nous discutons un peu histoire et musique. Dominique et Gwendoline racontent des anecdotes de la faculté, de même que moi, et j’en joins quelques-unes sur le travail. Anne, très en verve, raconte des souvenirs de pension. À un moment, je n’y résiste pas et glisse : — Y as-tu joué au tennis ? On dit que les jeunes filles aiment jouer au tennis en pension. Une seconde passe et Anne a un petit gloussement que visiblement ses deux filles ne comprennent pas et enchaîne : — Chez les sœurs, le sport était très surveillé. Je n’ai pas pu profiter de l’expansion du tennis. À la piscine, certains plongeons étaient interdits. Par exemple : nous n’avions pas le vol de la berge.— Elles avaient l’air très sévère. Je parie qu’elles ne vous laissaient même pas vous amuser avec des piles de boîtes.— Tu as bien deviné. Et nous n’avions même pas de mines piteuses.— Que racontez-vous ? C’est un peu surréaliste, votre conversation. Mais ça a l’air de beaucoup vous amuser, nous interrompt Dominique.— Apparemment, tes filles n’ont pas été initiées, comme toi, à toutes les possibilités de la langue française.— C’est vrai et c’est dommage. Voilà : ce qui nous amuse tant, Bernard et moi, ce sont des contrepèteries.— Des quoi ? disent avec ensemble les deux ...
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