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23 avril-6juin
Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,
... croquer et que j’ai vraiment beaucoup de chance d’avoir suscité son intérêt. Je lui demande de s’asseoir et de patienter un peu car j’ai pour elle une surprise qui demande un peu de préparation. Je vais dans ma chambre et je sors les photos. Il en reste, après tri, plus de 180. Pour leur exposition, je les avais toutes glissées dans des pochettes en plastique et je les avais fixées sur six planches, par trente à la fois. Cela m’avait pris une bonne partie de la soirée de jeudi. Je les avais dissimulées sous mon lit. Je sors donc mes panneaux, les accroche aux murs à la place des cadres qui y sont habituellement, et je dépose les deux derniers sur le fauteuil et sur une chaise. Quand c’est fait, je vais chercher ma chérie. Je lui demande de fermer les yeux et la guide jusqu’à la chambre. Je la place devant la première série de photos et lui dis qu’elle peut regarder. Elle pousse un « Oh » et devient pivoine. Nous faisons le tour de l’exposition. — Tu es photogénique, n’est-ce pas ? Même si je préfère l’original.— Je n’arrive pas à réaliser que c’est moi sur les photos, que c’est moi qui ai posé. Elles sont tellement…— Ça… pour être… elles sont…— Ne les laisse pas traîner. Imagine si Maman ou Gwendo ou n’importe qui les voyait.— Je les vois.— Toi, tu n’es pas n’importe qui. Tu es celui que j’aime. Remarque, tu n’es pas mal non plus en photo. Ton attribut masculin rend très bien. Et moi aussi je préfère l’original Nous arrivons devant la série prise dans les jardins du ...
... Trocadéro. — C’était de la folie. Tout le monde pouvait me voir. Regarde là, les gens, ils passent à moins de cinq mètres derrière le banc où je suis en train de…— … t’astiquer le bouton. Quand nous aurons le temps, je sortirai le projecteur pour que nous puissions voir la version diapo sur grand écran. Tandis qu’elle continue de regarder les photos, je commence à lui caresser la nuque et descends lentement le long de sa colonne vertébrale. J’atteins finalement son si mignon petit cul que je flatte doucement. Je glisse ma main entre ses fesses. Sa fente est déjà humide. Je l’embrasse dans le cou. Elle se retourne. — Ce n’est pas juste. Moi je suis les fesses à l’air et toi tu es encore habillé. Et elle entreprend de me dévêtir. Quand c’est fait, elle m’attire sur le lit. Nous échangeons baisers et caresses. Elle s’allonge sur le dos. Je passe au-dessus d’elle qui écarte les jambes. Ma chérie s’empare de mon sexe et le guide vers sa fente gonflée de désir. Je rentre dans son étui si bien lubrifié. Elle noue ses jambes sur mes reins. Nous nous perdons dans un baiser à couper le souffle tandis que je la pistonne avec ardeur. Nous avons la chance de jouir en même temps. Je m’allonge à côté d’elle. Elle vient se serrer contre moi et met sa tête sur mon épaule. Nous nous laissons surprendre par le sommeil. Quand je me réveille, il me semble n’avoir été assoupi que quelques minutes, mais la pendule m’apprend qu’il est presque 4 h 30. Je secoue doucement Dominique. Elle a bien du mal à ...