23 avril-6juin
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... reprendre pied. Quand je lui dis l’heure, elle se redresse et commence à s’affoler en pensant que l’on s’inquiète peut-être chez elle. Douche et habillage sont expédiés en un temps record. Par un heureux hasard, nous tombons sur un taxi en maraude en sortant de chez moi. Il est 5 h 00 quand je dépose Dominique devant chez elle et rentre chez moi pour finir la nuit. 9 h 30, la sonnette retentit. Ce sont Gwendoline et Dominique. Après un rapide bonjour, la première se met au travail après m’avoir annoncé qu’aujourd’hui elle déjeunerait dehors. Je lui donne un trousseau pour qu’elle puisse entrer et sortir à volonté, même si je ne suis pas là. En accompagnant Dominique jusqu’au métro, je lui demande comment s’est passé son retour. Elle m’apprend que sa mère dormait mais que Gwendoline l’a entendue rentrer. Du coup, elle a préféré lui dire ce qu’il en était de nos relations. Comme c’est le dimanche de la Pentecôte, je vais à la messe. Lorsque je suis de retour à la maison, Gwendo est partie déjeuner. Je mange rapidement et décide d’aller faire un tour. Comme je passe dans la salle de bains, mon regard tombe sur l’étendoir à linge. Je vois la robe et la culotte d’Anne. Je me dis que ce serait une bonne idée de les lui rapporter, que cela me ferait un but de promenade. Je passe un coup de fer et plie soigneusement le tout. Lorsque je pars, Gwendoline n’est pas de retour. En arrivant près de chez les Saint Lescure, je me dis que c’est un peu cavalier d’arriver ainsi sans prévenir. ...
... Je ferais mieux de confier à Gwendoline, si je la vois, ou à Dominique les affaires de leur mère. Je décide donc de passer mon chemin. Je fais demi-tour et me retrouve face à Anne. Elle me demande ce qui m’amène dans le quartier. Je lui explique le but de ma démarche et les scrupules qui m’ont assailli au moment de la réaliser et ma crainte de la déranger. — Il ne faut pas hésiter à passer à l’improviste. Cela me fera toujours plaisir. Monte donc prendre un rafraîchissement. De mon côté, j’en profiterai pour te rendre tes affaires.— J’hésite à te voir trop souvent.— Pourquoi donc ? Il ne faut être gêné.— Ce n’est pas pour ça, mais si à chaque fois que l’on se voit tu dois te changer, tu vas faire la fortune des marchands de lessive.— Idiot, dit-elle en riant de bon cœur. Nous montons à l’appartement. Je rends à Anne ses vêtements et elle me rend les miens. Nous prenons un jus d’orange au salon lorsque le téléphone sonne. Anne décroche, je m’éloigne un peu et vais admirer les tableaux. La conversation se prolongeant, je fais signe à Anne que je vais m’éclipser. Elle me fait non de la main et cache le micro pour me dire : — Surtout pas. Je prends une revue sur une table et la feuillette. Un quart d’heure plus tard elle raccroche et revient vers moi. Elle a une mine sinistre, toute la gaîté que je lui connaissais semble s’être évaporée. J’hésite sur la conduite à tenir. Je ne voudrais pas me montrer indiscret, mais elle fait vraiment peine à voir. Comme au fil des minutes cela ...