1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... pense, voit, respire même qu’affaires, affaires, affaires et encore affaires. Je n’ai jamais pu me faire d’amis. Avant mon mariage, je n’en ai pas eu le temps, à part une camarade de pension avec qui je suis restée très liée. Mais elle vit en Nouvelle Calédonie. Je la vois tous les deux ans quand elle vient en métropole, on se téléphone dix fois par an et on s’écrit souvent. Heureusement qu’elle est là, malgré tout. Après mon mariage j’ai été prise dans un carcan. J’ai plus ri lors des deux repas avec les filles et toi que pendant les deux dernières années. C’est à en pleurer. Elle s’arrête devant moi, les bras ballants. Elle éclate à nouveau en pleurs. Je me lève pour essayer de la réconforter. Elle s’agrippe à moi comme à une bouée pour sangloter, la tête sur mon épaule. Je lui masse la nuque pour tenter de la détendre en disant de ma voix que j’espère la plus apaisante : — Pleure. Pleure tout ton saoul si cela te permet d’évacuer ce qui t’étouffe. Je continue de parler. Elle se calme progressivement. Je crois que ce que je dis n’a peut-être pas beaucoup d’importance. Une présence amicale en a certainement beaucoup plus. Je finis mon discours en essayant de la secouer un peu. — Mais ressaisis-toi, ta vie n’est pas finie. Tu as trente-six ans pas quatre-vingts. Et, quand bien même tu en aurais quatre-vingts, cela ne t’empêcherait pas d’envoyer au diable les fâcheux, avec tout le respect qui leur est dû, bien sûr. Et ton mari, secoue-le. Impose-toi. Il ne peut pas être ...
    ... aveugle au point de ne pas voir combien tu peux être belle et désirable. Elle redresse la tête et me regarde droit dans les yeux. Son regard rougi me trouble. Elle a l’air d’une biche aux abois. Je me tais. Elle s’agrippe à mon cou et m’embrasse. J’ai le souffle coupé. Je sens ses seins s’écraser contre ma poitrine. Elle glisse une jambe entre les miennes. Son ventre frotte contre le haut de ma cuisse. J’ai beau me répéter que ce n’est pas possible, que c’est la mère de Dominique, mon esprit tourne à vide. Je suis dans un tourbillon, et j’ai la faiblesse de me laisser emporter. Si ma tête est aux abonnés absents, le reste de mon corps n’y est pas. Mon sexe réagit par une solide érection qu’Anne ne peut ignorer. J’essaie de reculer doucement. Ce n’est pas le moment de la blesser encore plus en la repoussant violemment. Mais, dans ma confusion, j’ai oublié que je venais de me lever. Et ma manœuvre n’a pour seul résultat que de me faire choir sur le canapé. J’y entraîne Anne, toujours cramponnée à moi. Avec une force qui me surprend, elle m’y renverse complètement, ses lèvres toujours soudées aux miennes. Elle me caresse à travers mon pantalon, avant de le déboutonner pour faire jaillir ma queue tendue à bloc. Elle se redresse et retire sa robe, je devrais plutôt dire l’arrache, en moins d’une seconde. Elle n’est maintenant plus vêtue que de ses sous-vêtements en dentelle noire. Elle replonge vers moi pour un nouveau baiser. Elle se rend compte de ma relative passivité et me dit d’une ...
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