23 avril-6juin
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... les dossiers étaient constitués depuis des semaines… et qui connaissaient le travail. À vrai dire, je m’en doutais un peu. Le papa doit être copain avec une grosse huile. À sept heures, après la fermeture, je lui rappelle que nous ouvrons au public à 10 h 00. On se salue, et je rentre chez moi. Pendant le trajet, je pense à ma nouvelle collègue. Je la trouve vraiment charmante, avec beaucoup de fraîcheur et de spontanéité. Mais, Dieu ! qu’elle est agaçante quand on doit travailler avec elle. À la maison, je retrouve Sekhmet qui me signifie qu’elle a faim. Après que Madame ait mangé, je peux à mon tour passer à table. Je jette un vague coup d’œil à la télévision. Comme je n’y trouve rien qui m’intéresse, je l’éteins, prends un livre et vais me coucher. À l’approche de minuit, Sekhmet commence à s’impatienter et me fait savoir qu’il serait peut-être temps de laisser tomber ce tas de papiers pour faire le câlin du soir. Après avoir sacrifié au rite, je m’endors. Mercredi 28 avril. À l’ouverture de la bibliothèque, je me retrouve seul. Dominique arrive comme une fleur à onze heures et quart. Le public étant présent, je ne fais aucun commentaire. Après la fermeture, je lui dis que, côté ponctualité, elle a de gros progrès à faire. Elle répond de manière désinvolte. Nous nous séparons pour partir déjeuner, assez mécontents tous les deux. Mais elle rentre de la pause-repas à l’heure. Le reste de la semaine se passe sans trop de problèmes. Le samedi 1er mai arrive à point nommé pour ...
... une coupure de trois jours. Je vais passer avec Sekhmet cette fin de semaine prolongée chez Maman. Le lundi 3 mai je fais une petite visite à mon collègue à l’hôpital. Il n’est pas bien vaillant. Sa femme m’apprend qu’il va être opéré et que, après l’hospitalisation, il devra rester au moins deux mois en maison de convalescence. La semaine suivante, la ponctualité de ma chère collègue est toujours aléatoire et son assiduité au travail également. Il faut lui expliquer que nous ne sommes pas ici pour lire des bandes dessinées et passer des appels téléphoniques aux copains. Samedi 8 mai. Le matin, après qu’elle ait passé près d’une demi-heure au téléphone avec ses copines pour organiser sa soirée, et ce, malgré que je l’exhorte à abréger, j’explose : — Mais, bon sang ! Est-ce que tu n’es qu’une écervelée ? Combien de fois faudra-t-il te dire que tu n’es pas ici en touriste, mais pour travailler ? J’en ai plus qu’assez de devoir jouer les gendarmes. Si tu ne fais pas un minimum d’efforts, je vais demander que l’on te remplace.— Ben quoi, je travaille. C’est pas la peine de t’énerver. Tu n’es vraiment pas cool.— Si c’est ça que tu appelles travailler, il y a des lacunes à ton éducation. Si ton père t’avait collé une ou deux bonnes fessées, cela t’aurait peut-être mis du plomb dans la cervelle. Peut-être que la chaleur qui s’abat sur nous depuis peu nous chauffe le sang, car le ton monte, les échanges deviennent peu amènes. Soudain, Dominique, perdant son contrôle, veut me gifler. ...