1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... Heureusement, depuis quelques années je pratique de la self-défense (un mélange de judo, de karaté et d’aïkido). Je dévie le coup et tire sur son poignet afin d’utiliser sa propre force pour l’éloigner de moi. Mais nous ne sommes pas sur un tatami. En esquivant pour la laisser passer, je me prends les pieds dans une chaise sur laquelle je tombe assis. Dominique tombe aussi à plat ventre en travers de mes genoux. Je ne sais ce qui me passe par la tête. Probablement les fessées que son père ne lui a pas données. Mais je la saisis et l’immobilise avant qu’elle ait pu se redresser. Je retrousse sa jupe et lui baisse le slip, mettant à jour un joli postérieur, bien potelé, à la peau blanche. Je commence à la fesser. Elle essaie de se dégager, gigote, m’exposant ainsi toute son intimité. Mais je la maintiens solidement. Son postérieur commence à se colorer. Voyant ses efforts vains, elle cesse de s’agiter en disant : — Arrête, espèce de salaud ! Je ne dis rien. — Mais, arrête ! Tu n’as pas le droit ! Je continue. — Arrête, s’il te plaît, ça brûle… Ses fesses sont maintenant rose vif. J’arrête et relâche ma prise, mais elle ne bouge pas. — Tu peux te relever. Elle se redresse avec précaution. Je l’aide à se mettre sur pied. Elle se tient devant moi, sa culotte descendue à mi-cuisse. Elle se frotte les fesses tout en reniflant. Ma colère est retombée. Je suis dégrisé. C’est la première fois que je perds ainsi mon sang-froid ; aller jusqu’à frapper quelqu’un, il n’y a pas de quoi se ...
    ... vanter. De plus, je réalise que cette histoire peut faire des vagues. Elle dit d’une petite voix : — Tu… tu… tu es méchant. Ça me brûle… Ce qui est fait est fait, il n’est plus temps d’avoir des regrets. Alors, autant assumer jusqu’au bout. Aussi dis-je avec toute l’assurance que je n’ai pas : — Et je suis prêt à l’être de nouveau si tu continues à te conduire comme une tête de linotte. Tu es avertie. Allons déjeuner maintenant. Elle me regarde, les yeux écarquillés d’étonnement. J’ajoute : — N’oublie pas de remonter ta culotte avant de sortir, sinon tu risquerais de ne pas passer inaperçue dans la rue. Elle rougit encore plus, rajuste prestement son slip et sort sans dire un mot de plus, les yeux flamboyants. Je sors aussi, mais je n’ai pas faim. J’arpente les rues en ruminant. Comment ai-je pu me conduire de la sorte ? J’avoue que je voudrais bien disparaître dans un trou de souris ou m’exiler sur une île déserte. Non seulement j’ai frappé ma collègue, mais j’ai également dû l’humilier. Et, avant de sortir, cette réflexion idiote sur sa culotte descendue, c’est la cerise sur le gâteau. Au retour du déjeuner, elle est là à l’heure pile et se met au travail. Personne ne fait d’autres commentaires que professionnels. Je vois bien qu’elle n’est pas à l’aise, moi non plus d’ailleurs, mais pour d’autres raisons. Elle évite de s’asseoir et, quand elle ne peut l’éviter, elle se dandine sur son siège. Ses fesses doivent lui cuire, c’est vrai que je n’y suis pas allé de main morte. ...
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