1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... L’après-midi se passe sans incident. Dominique est très assidue pour aller aider les lecteurs en rayons ou ranger des livres, alors que d’habitude elle a du mal à décoller de sa chaise. La journée finie, chacun retourne chez soi, après des salutations très protocolaires. J’avoue que le dimanche et le lundi n’ont pas été des plus joyeux. Mardi 11 mai. Dominique est arrivée la première. Je lui demande : — Alors, ces deux jours de repos se sont-ils bien passés ?— Oui, plutôt. Mais je n’ai pas très bien dormi… J’ai du mal à dormir sur le ventre… Un ange… avec des fesses rouges, passe. Gêné, je préfère orienter la conversation vers des sujets moins brûlants. Le mardi et le mercredi passent. Dominique est ponctuelle et régulière au travail. Mais, le jeudi, il y a un certain relâchement, et cela s’accentue le vendredi et le samedi. Elle arrive un peu en retard, monopolise à nouveau le téléphone pour ses appels privés, disparaît derrière des BD. Bien que je ne me sente toujours pas à l’aise, je dois à nouveau la gendarmer. En la quittant le samedi, je lui dis qu’elle doit faire un peu plus d’effort de ponctualité et de régularité, comme en début de semaine. Elle répond évasivement, l’air de s’en moquer comme de l’an quarante. Je n’insiste pas et lui souhaite une bonne fin de semaine. Le lendemain, après avoir déjeuné avec Maman, je rends visite à mon collègue qui a été opéré. Il doit prochainement partir dans une maison de convalescence en province, dans la région dont lui et sa ...
    ... femme sont originaires. Dominique n’arrive pas avant moi. C’est avec une heure et demie de retard qu’elle pointe le bout de son charmant nez. Je suis furieux, d’autant qu’elle a franchement l’air de se payer ma tête. — Mais, bon sang, que faut-il donc faire pour que tu comprennes ? Elle continue son manège avec arrogance et finit par me dire : — Si tu fais allusion à ce que tu m’as promis l’autre samedi, tu n’oseras pas recommencer… Elle a raison. Je vais battre en retraite sur des positions non préparées à l’avance. Mais toute son attitude, jusqu’à son sourire narquois, n’est que provocation. Cela m’exaspère. Je me ravise. J’avance vers elle, l’air beaucoup plus décidé que je ne le suis vraiment. — C’est ce qu’on va voir ! Pour commencer, donne-moi ta culotte… dis-je en tendant la main. Je pense qu’elle va refuser avec hauteur, m’offrant ainsi une porte de sortie honorable. Mais elle passe les mains sous sa jupe et commence à descendre son slip. Comme elle se penche pour le retirer, il me semble voir un rapide sourire sur sa figure, avant qu’elle ne se redresse, l’air effrayé. Elle met son sous-vêtement dans ma main. Je ne sais qu’en faire et finis par le glisser dans une poche. Elle avance vers moi, je recule et me retrouve assis sur la chaise qui est derrière moi. Elle s’allonge sur mes genoux, prenant ses aises. Je suis au pied du mur, avec la nette impression que ma charmante collègue m’y a sciemment amené. Je retrousse alors sa jupe, dévoilant son adorable postérieur qui a ...
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