1. L'appartement de la rue Lepic


    Datte: 11/08/2018, Catégories: Gay Première fois Inceste / Tabou

    C’était une fin d’après-midi de juin, le temps était chaud et je gravissais à grands pas le haut de la rue Lepic pour arriver à l’heure au rendez-vous que m’avait fixé mon professeur d’art dramatique pour me parler de mon avenir et m’inviter au restaurant avant que l’on ne se quitte le temps de la trève estivale. Je lui étais très attaché, buvant nombre de ses paroles et fort reconnaissant qu’il s’intéresse à ma personne, jeune homme timide, un peu inculte, mais doté par la nature d’une plastique harmonieuse qui attirait dans la rue de nombreux regards. Son intérêt pour moi ne faisait aucun doute, je le savais homosexuel, vivant seul et plusieurs histoires de relations avec d’anciens élèves circulaient au sein de l’école de théâtre. Je n’étais pas dupe, toutefois l’opportunité d’être convié par ce Monsieur exerçant une réelle autorité artistique et humaine, sur nous, groupe d’élèves inquiets de la profession que nous souhaitions embrasser, me faisait sortir du lot, je me sentais élu, choisi, le dindon que l’on a préparé durant deux ans, prêt à farcir.Arrivé à son immeuble, je reprend mon souffle avant d’appuyer sur le bouton de son interphone, je pressens les conséquences et ne peux pourtant rien faire d’autre que d’aller vers mon destin.- Ah ! C’est toi, Francis ! monte, au cinquième.La porte de l’appartement est ouverte sur un grand salon, des boiseries claires aux murs, de grandes baies vitrées, une vue magnifique sur les toits de montmartre, un fouillis d’étoffes ...
    ... soyeuses sur le lit installé dans une alcôve naturelle de cette grande et unique pièce. Il me prie de bien vouloir refermer la porte et me demande de me mettre à l’aise. Après quelques échanges polis et un verre d’eau fraiche, il me demanda de lui dire une fable de Lafontaine, exercice rébarbatif qu’il exigeait de nous chaque matin, debout les bras le long du corps sans aucun jeu corporel. Je commençais la fable, debout, les bras le long du corps, dans ce salon baigné de lumière, de sensations étranges. Il me conseilla de fermer les yeux, puis après quelques vers savamment récités selon les instructions du maître, il me demanda de baisser mon pantalon, je m’exécutais, les yeux fermés, restant concentré sur le texte que je devais dire le plus parfaitement possible. La fable terminée, j’ouvre les yeux. Il est appuyé sur un mur me faisant face, il ne dit rien, me regarde. Gêné, je remonte mon pantalon, la conversation s’engage sur d’autres sujets et nous sortons dîner dans le quartier à une bonne adresse où nous croiserons quelques acteurs et gens du spectacle qui ne manqueront pas de remarquer ma présence à ses côtés avec un certain éclat dans l’oeil. Après avoir apprécié la vue de mon sexe et de mes fesses, il me présentait à ses connaissances comme sa nouvelle prise et m’exhibait avant que je m’offre en sacrifice, le jeune acteur prêt à tout pour se faire percer. Le repas était délicieux, il parlait beaucoup, ne tenais guère compte de mon avis, je l’écoutais et il me dit à plusieurs ...
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