1. L'appartement de la rue Lepic


    Datte: 11/08/2018, Catégories: Gay Première fois Inceste / Tabou

    ... reprises que j’avais une belle queue et que je devrai connaitre l’amour avec les hommes. J’avais déjà eu des rapports homos avec un ami d’adolescence, que j’entretenais toujours, bien que lui comme moi, nous nous affichions officiellement hétéros, plusieurs rencontres au bord du canal saint martin, échanges froissés, furtifs. Toutefois je n’avais jamais pratiqué la sodomie, elle me faisait peur, je la trouvais dégradante pour celui qui la subissait et il était inenvisageable pour moi de me laisser aller dans l’acceptation de ma soumission à un homme qui vous pénétre, s’excite, vous souille de sa jouisssance, de son sperme. Surtout sans amour.Enfin nous sortions de ce restaurant où je ne me sentais pas vraiment à ma place. L'air était doux, je savourais une cigarette sans vouloir surtout penser à l'avenir immédiat qui m'attendait. Il me proposa de l'accompagner chez lui pour prendre un café, que lui seul savait préparer correctement. Sans émettre aucun son, je le suivais tel un sacrifié se rendant au supplice, face à la terreur de m'avouer avoir une attirance pour les hommes, curieux de voir le sexe du maître, assister à sa jouissance, le recueillir au fond de soi afin que son emprise s'épanouisse physiquement après avoir été mentale. Il allait jouir de moi, le plus simplement, sans avoir à demander, poupée idiote je me préparais à obéir, m'offrir à un homme de 45 ans mon aîné.Arrivés chez lui, il m'invite à nouveau à me mettre à l'aise, à m'asseoir et me dit qu'il revient ...
    ... de suite en sortant par une porte dissimulée par les panneaux de boiseries, une salle d'eau. Quelques minutes passent, bruit d'une chasse d'eau, eau qui coule, silence, la poignée de porte s'abaisse à plusieurs reprises, de plus en plus vigoureusement, puis il frappe à grand coup du plat de la main sur la porte qui refuse de céder à ses coup de butoir. Surpris et gêné par la situation, je me lève et vient à son secours, je tire la porte, il est debout en robe d'intérieur, l'air agacé, une odeur légèrement fétide émanant de la pièce d'eau. Il se reprend, parle encore plus, me regardant avec un air entendu, me suggère de m'asseoir sur le lit pour regarder la télé, il s'allonge à demi à côté, le silence devient pesant, je suis pétrifié à l'idée de me faire sodomiser par cet homme que j'admire et crains, je suis persuadé qu'il a un énorme pénis, qu'il va me faire très mal, mais je suis aussi excité par cette sexualité différente, embrasser une bouche d'homme, prendre son sexe en bouche, le déguster, caresser sa toison, découvrir la douceur de sa peau, la grosseur de ses couilles, l'odeur de son gland. Ma tête tourne un peu, je n'entend que de loin le dialogue du film, sa main saisit la mienne pour l'amener haut sur sa cuisse, au plus près de sa queue, sa respiration s'intensifie, les yeux fixes je tourne la tête vers son sexe, évitant soigneusement son regard, j'écarte le pan de sa robe, découvrant une très belle grosseur sous un caleçon de couleur vive. Ma main se glissa par ...