Phantasmes - Histoires de Sexe

Phantasmes

... Mon sexe se gonflait contre son ventre, elle était bien obligée de s’en apercevoir. Ses larmes avaient totalement cessé. Elle plongea son regard vert dans le mien et me sourit. — Après tout, c’est peut-être ça dont j’ai besoin. Alors, avant que je puisse réagir… Non, ça c’est ce qu’on dit pour faire genre qu’on ne voulait pas. Alors, je la regardai s’agenouiller devant moi et libérer mon pénis tendu de mon short, qui se retrouva sur mes chevilles avec mon caleçon à fleurs. Quand je vous disais que la situation ne s’y prêtait guère… Elle prit ma queue dans sa main et commença à la lécher. Puis, elle la goba carrément et se mit à me tailler une pipe vigoureuse. Elle semblait affamée, voire en manque. Sa bouche allait et venait sur ma bite à une vitesse inouïe. Elle allait me faire jouir si je ne l’arrêtais pas. Or c’était elle qui avait besoin d’être consolée. Je la stoppai dans son élan… Je reprends, c’est hypocrite : Elle allait me faire jouir si elle continuait à ce rythme-là, alors je la laissai faire. J’éclatai avant qu’elle puisse me retirer de sa bouche. Les premiers jets s’écrasèrent dans sa gorge, puis elle s’écarta et reçut le reste sur la figure. Apparemment cela ne la choqua pas, car elle se lécha les lèvres tout en souriant, puis s’essuya le visage avec un mouchoir. Je m’allongeai sur le lit, épuisé, mais Ingrid semblait avoir de la suite dans les idées. Elle se déshabilla et me monta dessus. Comme je ne débandais pas, elle s’empala aisément sur moi. — Attends, ...

... je suis un homme, pas une machine. Laisse-moi récupérer… Voyant que je cherchais un second souffle, elle se fit patienter en se masturbant à côté de moi. Le spectacle de ses trois doigts écartant sa fente et plongeant dans son intimité me redonna de la vigueur. Satisfaite de mon état, Ingrid me monta dessus et, tenant ma bite d’une main, elle s’empala sur mon pieu. Je le vis s’enfoncer en elle, d’un coup jusqu’à la garde. Mes couilles touchaient ses fesses à chaque fois qu’elle descendait. Elle imprimait sur moi un rythme d’enfer. Elle semblait possédée. Elle gémissait et se tordait de plaisir. Puis, dans un dernier élan, ma queue bien plantée au fond de son vagin, elle se mit à jouir. Je sentis son sexe se contracter autour du mien, mais je tins bon. C’était surtout que je venais d’éjaculer deux minutes avant, alors c’était plus facile pour moi de me retenir. Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle sembla déçue que je ne l’aie pas accompagnée dans son voyage orgasmique. Elle posa ses mains sur mon torse et reprit le rythme. Elle remontait jusqu’à ce que mon gland croie entrevoir la lumière puis redescendait lentement. Son fourreau était en fusion autour de ma queue. Peu à peu, elle prit de la vitesse, sans que je puisse rien contrôler. Alors, je jouis à nouveau. Je répandis mon foutre épais dans sa chatte en feu, en laissant échapper un râle de plaisir. Elle s’écroula sur moi, vaincue également par la jouissance. Elle se dégagea, laissa couler le sperme sur mon ventre et lécha ...