Les Robinsons de Bohème (3)
Datte: 12/08/2018,
Catégories:
Divers,
Chapitre 3 Résumé des deux chapitres précédents. La famille Konopiste suite à la bataille de la Montagne Blanche décide d’émigrer dans le nouveau monde, un orage détruit le bateau et seuls les Konopiste sont sauvés, mais le père se trouve avec le dos bloqué et son fils chargé de tous attrape froid dans un ruisseau et lutte pour sa vie, sa mère voulant lui tenir chaud succombe à ses charmes et commet l’adultère sous les yeux du patriarche qui miraculeusement à la vue de son épouse fricotant avec son fils retrouve un semblant de santé. Après de cet incident, la famille en entier sauve deux indigènes qui étaient prévus pour un sacrifice que les Konopiste ont effrayé avec des fusils. Suite à ceci, Vlasta, la mère se prend d’affection pour le jeune homme et continue dans sa recherche du plaisir et simultanément la jeune indigène est prise par le fils Jan. On se trouve à la veille de la deuxième nuit, où le jeune homme dont on a simplifié le nom en Arrac se prépare à s’initier aux délicatesses du cunnilingus. Suite coquine puis constructive: Remontant les cuisses musclées de Vlasta, d’une belle couleur pâle, Arrac arrive avec sa bouche juste à la fourche et son nez s’imprègne de cette odeur excitante et simultanément, il voit un jus sourdre en dessous d’un petit bout de chair, il sourd au milieu d’une splendide balafre entourée d’une forêt de poils roux flamboyant bien dense. Curieux, il tire la langue, aidé par les phéromones distillées et il la plonge dans la dite balafre pour ...
... déguster ce liquide un peu poisseux, mais très excitant. — Oui, c’est bien, comme cela. — Moi, bohémien pas comprendre répond Arrac. Alors d’un geste auguste, Vlasta descend ses deux mains et entoure la tête qui est en train de lui lécher la pastille et la maintient fermement, ainsi elle lui fait comprendre qu’elle apprécie ses efforts linguistiques. Finalement, elle se dit : « si tout le monde peut se goinfrer dans ma fontaine de Trévise, pourquoi moi je ne pourrais pas avoir ma sucette à la viande, arrosée d’une bonne rasade de sauce coucougnette. Sans plus attendre, en laissant son entrejambe à disposition de l’élève, elle lui prend le manche en main et l’amène vers sa bouche pour déguster ce magnifique bâton de berger. — Hum pas mal, dit-elle, cela a un petit goût de sauvage bien agréable. Voyons ce que donnera la sauce qui vient avec, j’ai les papilles qui frétillent. Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin, le jeune Arrac, pris d’un tremblement lui arrose les amygdales d’une crème abondante qui transite sans autre dans son estomac. Vlasta pense qu’il a bien eu son plaisir, mais qu’il faudra qu’il apprenne à retenir quand oh surprise, surprise et merveille de la jeunesse, il n’a pas débandé, il reste bien ferme et ils se disent que c’est le moment de mettre le bâton de berger au chaud. Se remettant dans le même sens, dans la position du missionnaire, (normal pour une famille qui a fuit l’obligation d’être catholique.) La jolie balafre de Vlasta accueille avec plaisir cette ...