Première neige (1)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
Divers,
... nullement en reste et il sait maintenant aussi trouver les mouvements qui m’amènent à hurler de bonheur, à gueuler d’envie. Il sait dorénavant où il doit aller toucher pour que je me torde sur le tapis. Et il le fait bien, c’est fabuleux ce pied que je prends sous les phalanges qui trouvent toutes une utilité qui me propulse vers un univers parallèle, vers le paradis sans doute. Par moment aussi, le jeune homme me prend la bouche avec la sienne et nous échangeons des baisers qui ont tout l’air et le goût de la passion. Mais il a vite compris que je fais durer son plaisir et il veut encore profiter de cette bouche qui lui lèche la queue. Chaque fois qu’il le peut, il se remet en position de soixante-neuf, avec l’espoir que je vienne gober sa pine qui se presse sur mes lèvres. Bien entendu, quand elle frappe à la porte de mes mâchoires, celles-ci s’entrouvrent pour lui laisser le passage et je lui donne chaque fois ce frisson que je n’arrête que lorsque je le sens au bord de l’explosion. Maintenant, je suis sous lui et il me lime la bouche avec cette force que lui confère sa jeunesse. Ses va-et-vient forcent mes lèvres et m’enfoncent sa queue au plus profond de la gorge. J’en ai du mal à maitriser la situation et je n’arrive même plus à apprécier les léchouilles qu’il me délivre sur la chatte. Parfois, il reste planté au fond de mon gosier, sans repartir immédiatement en arrière et j’ai un haut-le-cœur chaque fois qu’il s’arrête trop longtemps, m’empêchant par la même de ...
... respirer correctement. Mais il est lucide et avant que je m’étouffe, il ramène sa bite vers le bord de mes lèvres, toujours pour mieux revenir la bouter au fond, collée contre ma luette. J’aime cette vigueur, cette force qui se décuple dans cet acte insensé de faire l’amour de cette manière. Je suis à cent mille lieues de toi mon pauvre amour. Je suis là à te cocufier avec plaisir, et surtout avec ce jeune homme-là qui aurait pu être notre fils. Mais je n’ai pas le sentiment de faire mal, pas de crainte d’une quelconque relation incestueuse, cette idée ne frôle aucunement mon esprit. J’ai juste cette honte de te tromper avec un gamin, mais avec un gosse de vingt piges, qui a une queue de cheval quand même. Damien, à mon avis ne saurait plus non plus, interrompre notre partie de baise. Il est par trop excité et je le suis encore davantage en sentant cette bite qui se meut dans ma bouche. Il pèse sur moi de tout son poids et reste bien enfoncé dans cette gorge qui lui donne du plaisir, comme un avant-goût de ma chatte qu’il sait avoir, quand il le voudra. Mes bras sont coincés sous ses cuisses puissantes, il sert de plus en plus ma tête dans l’étau de celles-ci. Ses couilles, à chaque mouvement, viennent toucher mon front, cogner le haut de mon visage et il reste fiché en moi comme si sa vie en dépendait. Mais c’est bien moi, qui « salope » au possible a déclenché ce processus que je sais irréversible. Le sexe que je sens naviguer dans cette gorge qui est la mienne, enfle encore et ...