1. Première neige (1)


    Datte: 13/08/2018, Catégories: Divers,

    ... ce que je ressens si profondément ; seulement attentive à cette lance qui me perfore le ventre, amenant ces larmes de mouille à sortir toutes seules de mon vagin. Je suis trempée et le mat de Damien coulisse bruyamment en moi. Il va et vient, comme s’il n’avait jamais fait que cela et ce mandrin qui m’écarte la chatte me fait bander, je ne trouve pas d’autre mot, encore plus fort, si c’est possible. Sur mes cuisses, je sens le ruisseau de mouille qui m’inonde partout et se répand sur le tapis. Et lui qui me donne encore quelques claques sur les fesses, comme pour activer le plus possible, la coulée de cette rivière d’eau claire qui lui trempe les couilles et le bas ventre. Je suis en transe, complètement folle, et je bouge dans tous les sens, mes nerfs sont en pelote et je ne suis plus réactive qu’à ces coups de reins qui me portent aux nues sans discontinuer. Rien, plus rien n’a d’importance, il n’y a plus sur cette terre que son sexe et le mien et l’immense plaisir qu’ils nous font partager, là maintenant. Mes cris doivent faire trembler les murs en bois de notre maison, ma chaleur devrait pouvoir presque faire fondre la neige qui doit encore couvrir les sols vosgiens. Quand nous nous apaisons enfin, que je suis blottie tout contre cette poitrine de jeune homme, je pense enfin que ce n’est peut-être pas bien ce que nous venons de faire. D’un revers de main, je chasse cette idée, cette notion de bien ou de mal qui finalement n’est pas venue perturber notre corps à corps ...
    ... épique. Damien me sert très fort contre lui. — Il ne doit pas s’ennuyer Michel avec une femme comme toi dans son lit toutes les nuits ! Quelle partie de cul tu m’as offerte Tantine, quel bonheur que de baiser avec toi. Pour le faire taire, gentiment je mets ma main sur sa bouche et lui pense que je veux encore jouer. Il mordille ces doigts qui ne sont là que pour l’empêcher de dire des bêtises. Et je n’en reviens pas, contre mes fesses, je sens durcir de nouveau la bite qui vient de me défoncer, elle reprend une incroyable vigueur, son gland se presse sur ma cuisse. Je m’échappe un instant, juste pour remettre une grosse bûche dans le foyer, sur le lit de braises qui rougeoie encore. Il a compris et me laisse gérer ce feu qui nous a fourni sa chaleur, mais dès que j’ai fini, il me reprend par la cheville et je suis allongée contre lui, les fesses contre cette queue qui se redresse plus vite que je ne le pensais. Damien m’entoure de ses bras et ses mains qui me ceinturent, pressent mes seins. Il les malaxe, les titille, les écrase, les soupèse. Il ne dit toujours rien, juste il me caresse la poitrine. Sa bite elle, est aussi raide qu’un piquet de parc et elle tente de me pénétrer alors qu’il persiste à me tripoter les nichons. Il pousse sur ce mat qui se frotte au milieu de mes fesses et ce n’est pas ma chatte que trouve le gland fouineur. Il est sur mon œillet sombre, mais le garçon sait-il seulement où il veut entrer ? Je ne dis rien non plus, me tortillant cependant le derrière ...