1. Quand on tire le diable par la queue (3)


    Datte: 13/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... concrétiser avant le mariage et après ce n’était plus possible. – J’ai eu l’impression que tu me condamnais sans preuve. – Mais je me fous des preuves et du fait que ce soit un inceste, ce que je veux c’est ta queue qui me laboure si bien. L’inceste au contraire m’excite encore plus. Laisse moi te redonner des forces, dit-elle en embouchant sa bite, mais ce n’est pas facile de regonfler le saucisson quand il a pris une douche froide. – Laisse moi un peu souffler, dit Jean, on fait une petite pause, si on peut boire un verre, – Tu veux un whiskys demande Jasmine – Non, plutôt un pastis. J’aime pas trop le whiskys, j’ai l’impression de boire de l’eau de savon alcoolisée. Mais peut-être que pour toi c’est bon. Elle amène deux verres avec des glaçons et une cruche d’eau. – Attends lui dit-il, je vais améliorer ton whiskys et il trempe son sexe dans le verre où il y a les glaçons, ce qui rétrécit encore plus sa pine. – Non, pas ça, elle est vraiment hors service maintenant dit-elle. – T’inquiète, c’est comme le phoenix, elle va renaître de ses cendres – Je demande à voir ! – Je pensais plutôt que tu aurais demander à sucer. – Oui, aussi, mais là cela va être dur. – J’espère bien que tu arriveras à me la refaire dur, sans râler dur dur. – Coquin, tu aimes les jeux de mots. – Pas que de mots, les jeux de cul aussi. Vas-y embouche ma bite, applique-toi que je puisse à nouveau honorer ton pertuis. – Voila, suffit de te la prendre sous le gland et tu ne peux résister. Viens bourre ...
    ... moi bien, la marmite n’a pas eu le temps de refroidir et il manque ton poireau pour un bon bout ji. – C’est quoi le ji : – C’est pas chinois pourtant ! C’est le nom de théâtre de Ji lébien ofond. – Ah ! Avec le batteur chtli bourrebin lacrousil – C’est ça. Continue, ne te repose pas, lime bien à fond, j’ai entendu que tu étais un as pour limer plat, c’est le moment de mettre en pratique. – Tu ne veux pas que je lime tes jolis mamelons ? – Tu peux, mais pas avec la grosse bâtarde [Lime très grossière pour le travail manuel du fer.], mais avec les moustaches, avec cela, elle seront plus vite fatiguées, que mes nénés rectifiés. – Question moustaches, je préfère l’escalope à moustaches, c’est l’escalope des grosses salopes, celles que je préfère, à consommer avec une sauce un peu piquante. – Salaud, avec tes déconnages, tu m’excites, je sens que mes ovaires réclament leurs bectées, vas-y envoie la sauce. Je grimpe aux rideaux. – Je te suis, avec ma tringle à rideaux bien engagée. – Oups, c’était bon cette baise, avec ce que tu m’as remis, si le poupon n’est pas accroché au wagon, j’y comprends plus rien. – Au fait il revient quand ton mari. – Après demain. – Cela t’embête si la nuit prochaine je vais dormir à la maison, Maman doit s’inquiéter et s’ennuyer. – Je ne crois pas, hier, en passant devant la cure, je l’ai vue qui était à l’intérieur avec Martine, ces deux salopes se bouffaient le museau. J’aurai pas cru cela de la femme du pasteur, qu’elle soit un citoyenne de Lesbos ...
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