Quand on tire le diable par la queue (3)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... adoratrice de Saphos. – C’est quoi ces conneries. – Tu ne connais pas la mythologie grecque ? – Non, c’est pas au programme de l’école d’horlogerie. – Voila, si on a le temps, je compléterai ta culture générale entre deux bonnes baises. Je vais vraiment profiter au maximum de tes possibilités avec mon mari qui me néglige et préfère aller chez les Jap avec sa secrétaire. – Elle n’est pas mal non plus, Tu as vu ses grosses lèvres, elle donne vraiment envie de lui glisser entre elle sa bite et avec des lèvres de ce type, on dit qu’en bas, c’est idem, elle doit avoir un con délicieux. – Tu ne trouves pas le mien délicieux ? Tiens donc ! – Mais oui, mais dans le fantasme des hommes, les petites lèvres bien gonflées sans excitation, c’est gratifiant et la majorité des lèvres des femmes ne sont pas gonflées de désir au départ, mais après excitation. – Je ne connaissais pas cette façon de voir masculine. – Tu le sais sans t’en rendre compte. – Comment cela. – Pourquoi tu te mets du rouge à lèvres ? C’est bien pour augmenter leurs volumes et faire ressortir le coté carmin voire rouge sang et implicitement donner une image de tes lèvres entre les jambes. – Intéressant comme théorie. Où as tu pris ces idées ? – Tu vois j’ai aussi ma culture, mais je suppose qu’on a pas les mêmes lectures. – Bon maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?, tu veux rester pour dormir, tu aurais moins de chemin à faire demain. – Mais cela ne va pas jaser si je sorts de chez toi à sept heures du matin ? – Fais le ...
... discrètement ! Et contrôle si il n’y a personne. C’est ainsi qu’une nouvelle nuit torride entre Jasmine et Jean se déroula pour leurs plus grands plaisirs, où Jean à force d’excitation faisait gonfler à mort les petites lèvres de sa rouquine, mais le lendemain à l’usine, Jean n’avait vraiment pas le teint frais, malgré le passage de la tête sous l’eau froide et la douche finlandaise. laqlttog Mais avec son nouveau grade, en l’absence du patron, personne n’ose lui faire une quelconque remarque, même si la jeune apprentie le regardait fixement en écarquillant les yeux. – Qu’est-ce qu’il y a Paulette, tu as vu un fantôme ? Fais moi plutôt un café ! – Oui chef, mais il faudrait mieux enlever les 2 ou 3 cheveux blonds qui sont sur votre pardessus. On pourrait deviner à qui ils appartenaient. – Merci, on est jamais assez prudent. C’est clair que ce n’est pas les miens, ni les tiens. – Cela m’aurait bien plu si c’eut été les miens. – Tu es un peu jeune non ? – J’aurai bientôt 18 ans. – Bon on verra quand tu les auras, au fait c’est quand ton anniversaire ? – C’est dans 5 semaines lundi. – Je note. À midi, il rentre à la maison et la trouve vide avec un petit mot de sa mère : – Je suis à la cure. (pour ne pas dire à la bourre) " Moi qui me réjouissais d’avoir un bon dîner, il va falloir que je fasse un tour à la cure" se dit Jean en se dirigeant vers la dite cure. Toc Toc contre la porte. – C’est qui demande un voix un peu anxieuse que Jean reconnaît pour être celle de Martine. – Ce ...