1. La cité perdue


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fh, fffh, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, attache, historique, aventure, fantastiqu,

    ... l’obscurité et elle eut juste le temps de percevoir une immense silhouette qui se ruait sur elle. En hurlant, elle pointa sa lame dans sa direction puis tout bascula dans le noir. * * * Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle crut défaillir. Elle était complètement nue, pieds et poings liés ; ses vêtements déchirés étaient éparpillés autour d’elle. Quant à son arsenal, il était désormais inutile, réduit en morceaux. Le cadavre d’un gorille gisait à ses côtés ; on voyait encore le manche du coutelas planté jusqu’à la garde dans sa poitrine. Elle eut un frisson en réalisant que les créatures qui l’entouraient avaient une allure à demi humaine. Pourtant, elles utilisaient un langage, vu le dialogue animé que deux d’entre elles entretenaient. Et elles étaient armées, portant sagaies et boucliers. Comment diable le perçut-elle ? Kate ne le sut jamais mais elle comprit que c’était elle qui était l’objet de la discussion. Son cerveau fonctionna à toute vitesse. Si ces êtres l’avaient épargnée, c’était qu’ils avaient besoin d’elle. Des mâles, une femelle : elle comprenait très bien ce qui allait arriver. Folle de rage, elle décida de ne pas se laisser faire. Criant, gesticulant, se débattant, elle attira leur attention. — Libérez-moi, bande de primates ! Vous allez voir ce qu’une femme peut faire ! Une des deux créatures se dirigea vers elle avec une célérité et une agilité étonnantes, presque une grâce de danseuse. Ce qu’elle avait pris pour un être hybride mi-humain mi-bête était en ...
    ... réalité un jeune homme ; son apparence venait de la peau dont il était recouvert. Ce guerrier portait une espèce de pagne qu’il laissa tomber. Son intention semblait évidente, vu l’état de priapisme fort avancé qu’il arborait. Se plaçant au-dessus de la jeune femme, il commença à la palper et à la caresser avec une douceur inattendue. Les seins retenaient particulièrement son attention. Ses doigts agiles jouèrent avec les mamelons puis descendirent lentement, longeant le contour des hanches, caressant le mont de Vénus et finalement s’insinuèrent entre les cuisses où ils commencèrent une véritable sarabande, à tel point que Kate dut se mordre la lèvre pour ne pas gémir de plaisir. À sa grande confusion elle commençait à mouiller, et son sexe donnait l’impression de s’ouvrir comme une fleur. La jeune archéologue se dit qu’encore une fois, elle aurait mieux fait de réfléchir avant de parler. Lorsqu’il posa la main sur elle, Kate ferma les yeux en priant pour que cela aille vite. Mais rien ne se passa comme elle le pensait. Prosterné à ses pieds, l’homme détacha d’abord les entraves liant ses poignets puis, passant derrière elle, libéra ses chevilles et la releva. Face à elle, il se tenait, sans bouger, la fixant avec des yeux implorants, arborant une érection toujours aussi triomphante. Kate, complètement décontenancée, ne trouva qu’une chose à faire : tendre une main vers ce membre dressé et le caresser. Le garçon émit alors une sorte de mélopée entêtante, les yeux clos tandis que ...
«12...131415...24»