La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1099)
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... n’hésita pas longtemps, et alors que Monsieur le Marquis s’éloignait discrètement, il pénétra dans la boîte. La soumise arrêta ses caresses et se prosterna attendant de savoir ce que l’on allait exiger d’elle. Il lui ordonna de continuer ce qu’elle était en train de faire et elle s’exécuta tandis qu’il sortait son sexe déjà en demi érection de son pantalon et qu’il commençait à sa branler en la regardant. Quand il fut bien gonflé, il se dirigea vers la chienne soumise, la fit mettre en levrette et la besogna sauvagement, étant déjà proche de l’explosion, et il se vida en elle en de longs jets de spermes épais et chauds, dans une femelle surexcitée, mais n’ayant toujours pas eu l’autorisation de jouir. Après qu’elle lui eut nettoyé sa verge qui n’avait pas tout perdu de sa vigueur, Wangdak sortit de la boîte, puis dans le couloir où il continua à avancer, seul, de quelques pas. Il retrouva son ami un peu plus loin, devant une nouvelle devanture. Et venait enfin « la salle des machines » ! Salle de tortures, de plaisirs, d’entrainements… suivant le point de vue de qui la regardait ou qui était dedans à subir les divers mécanismes. Il y avait un appareil devant lequel était trois soumis, chacun ayant le sexe accaparé par une partie de la machine. L’un se faisait branler indéfiniment par une main mécanique, le second l’avait enfoncé dans une vulve qui le pompait, et le troisième dans la bouche d’une tête féminine qui le suçait. La machine pouvait être autant un objet de plaisir ...
... que de torture, car si les trois males avaient le droit d’éjaculer, la machine ne s’arrêtait pas tant que le Maître ne décidait pas d’appuyer sur le bouton qu’il fallait. Il y avait une planche sur laquelle un soumis se tenait penché en attrapant des anneaux dans le sol, et une tapette large lui appliquait une fessée mécaniquement. Dans le couloir, plusieurs boutons servaient à commander la vitesse et la force de frappe et le Tibétain s’amusa un moment à surprendre le pauvre chien dont le derrière lui cuisait, mais qui était un mâle entrainait et qui donc ne laissait échapper aucun son. Deux soumises, allongées sur le dos chacune sur une table, subissaient les assauts mécaniques d’une main qui leur faisait vivre, pour l’une un fist vaginal, pour l’autre un fist anal. D’autres étaient attachés à des chaises et des pompes à seins, à clitoris les faisaient gonfler jusque ce soit douloureux, avant de relâcher la pression et de recommencer. D’autres étaient reliés à des pinces, des plugs ou des godes branchés à des batteries qui s’actionnaient toujours depuis des boutons se trouvant dans le couloir et permettant aux visiteurs de s’amuser avec les mannequins humains du musée. On y trouvait aussi deux vélos fixé au sol, un modèle féminin, où un plug anal et un gode s’activait au mouvement du pédalier dans la chatte et l’anus de la femelle qui le montait, et un modèle masculin, où le gode avait été remplacé par une main qui branler la queue du mâle installé dessus… Et enfin venait le ...